vendredi 31 août 2007

Vers l'adoption de 40 normes sur les produits fabriqués en RDC

Les industries congolaises doivent désormais respecter les normes dans la fabrication de leurs produits : une commission technique d'adoption des normes, mise sur pied au ministère de l'Industrie, a adopté 40 normes à respecter pour les produits fabriqués en RDC.
Ces normes devront encore être validées par le Comité national de normalisation avant d'être soumise à l'autorité compétente pour leur homologation. A terme, une centaine de normes devrait être adoptée. Il s'agit de normes harmonisées par le Comesa et proposées aux pays membres pour faire fonction dans leurs industries. Le non respect de ces normes sera sanctionné, ce qui nécessite un accompagnement pour leur application et des moyens de contrôle.
L'adoption de ces normes, comme la mise en place d'une nouvelle politique industrielle cohérente au pays, donnera une nouvelle impulsion à ce secteur pour son redécollage, la RD Congo se trouvant depuis une dizaine d'années dans un processus de désindustrialisation.

Le Potentiel - RD Congo,28 août 2007

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APE : Le Comesa fait tout pour respecter le délai

Les gouvernements du Comesa mettent tout en œuvre pour respecter le délai imparti pour la signature de l'accord de partenariat économique devant remplacer l’ccord de Cotonou existant sur le commerce préférentiel qui expire le 31 décembre 2007.
Le ministre kényan de l’Industrie, M. Mukhisa Kituyi a indiqué que le tarif extérieur commun adopté apar le Comesa était identique à celui adopté par l'EAC, l'objectif étant qu'il n'y ait aucune perturbation dans les échanges entre ces pays, même avec la signature des APE.
Malgré les craintes des exportateurs à propos des APE, les gouvernements du Comesa travaillent déjà à respecter le délai sur l’expiration de l’accord de Cotonou relatif au commerce préférentiel.

Agence djiboutienne d'informations, 31 août 2007

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Le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie introduisent un visa d’entrée unique pour les touristes

Les touristes désireux de se rendre en Afrique de l’Est n’auront bientôt plus besoin que d’un seul visa d’entrée pour accéder aux centres d’attraction touristiques du Kenya, de l’Ouganda et de la Tanzanie.
Ongong’a, le directeur général du Bureau du tourisme du Kenya, a expliqué que cette initiative a pour objectif de permettre aux touristes, en visite dans un des trois pays, d’accéder aux deux autres restant. S’exprimant en marge du lancement de la compagnie aérienne Executive Turbine mercredi, à Nairobi, dans la capitale kenyane, M. Ongong’a a ajouté que "le projet visait également à relever les défis liés à l’absence de vols directs pour le Kenya en provenance de certains marchés touristiques de grande envergure".
Le Bureau du tourisme du Kenya vise à accroître le nombre de touristes visitant le Kenya et l’objectif de porter d’un million de touristes à trois millions d’ici à 2012.

Agence de Presse Africaine, 29 août 2007

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La Tanzanie abrite la deuxième foire commerciale des pays d’Afrique de l’est

La Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de la Tanzanie (TCCIA) abrite la deuxième édition de la foire des pays d’Afrique de l’est, du 31 août au 10 septembre, dans la ville de Mwanza.
Cette foire commerciale vise les consommateurs et les producteurs de produits industriels, de services et de technologies. Elle s'est établie en tant que vitrine pour les produits tanzaniens, aussi bien que ceux en provenance des régions de l’Afrique centrale et de l’est.
Cette foire sera un moyen d’explorer et de profiter des nouvelles opportunités commerciales et d’investissements, non seulement dans la région, mais également au sein des régions du Comesa et de la SADC
La TCCIA vise à établir des liens de partenariat entre les hommes d’affaire des pays d’Afrique de l’est à travers l’organisation de foires commerciales spécialisées, la gestion régionale, des expositions individuelles et la recherche de produits et de marchés.

Agence de Presse Africaine, 31 août 2007

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mardi 28 août 2007

La Zambie tire profit de sa double appartenance Comesa, SADC

La Zambie a besoin à la fois de la SADC et du Comesa. Tel est le message de Sindiso Ngwenya, secrétaire général adjoint du Comesa.
Pour Sindiso Ngwenya, le bénéfice de cette double appartenance provient du fait que les marchés ne sont pas les mêmes. Il appelle donc à une harmonisation des règles commerciales entre le Comesa et la SADC.
Le dilemme de la double appartenance a été soulevé par un comité conjoint et des plans sont mis en oeuvre pour établir une autorité conjointe de communication. Ngwenya a précisé qu'ils travaillaient également sur des règles d'origine communes et un document unique pour les commerçants transfrontaliers.

Xinhua, 27 août 2007

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L'Afrique de l'est renforce l'information sur les marchés

Les organisations de promotion du commerce en Afrique de l’est ont lancé un site internet qui donne des informations sur les nouveaux marchés pour l’exportation de produits locaux comme les fleurs, les fruits frais, le poisson et le textile au Moyen-Orient et dans l’Union européenne.
Les commerçants de l'East African Community (EAC) pourront accéder librement aux dernières informations sur les opportunités d’exportation de leurs biens et services. Le site www.eacexport.com offre des informations sur les opportunités d’exportation, les tendances de la demande des produits, les coordonnées des acheteurs, les prix et les conditions d’accès aux marchés étrangers.
Un des aspects importants du site web est l’accès aux conseils d'une trentaine d'experts ougandais, kenyans et tanzaniens, ayant des connaissances variées en commerce international.

Agence de Presse Africaine, 25 août 2007

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e-Comesa #119 - L'AfOA prête à signer un APE partiel avec l'Union européenne

Les autres titres abordés dans ce numéro :
- L'EAC tient son 6e sommet à Arusha
- Le Comesa simplifie son régime commercial pour aider les commerçants transfrontaliers
- Ateliers de sensibilisation sur la mise en oeuvre de la convertibilité des monnaies au Caire et à Khartoum
- Le Malawi salue les efforts de la société civile dans la prévention des conflits

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lundi 27 août 2007

APE : Le gouvernement reprend le refrain de l'inquiétude

Des industriels, des exportateurs et même des responsables du gouvernement sont nerveux à propos du 1er janvier 2008, date à laquelle les accords de partenariat économique (APE) entreront en vigueur.
Si depuis le début, le gouvernement a affiché un optimisme, il semble actuellement avoir rejoint le rang des organisations non gouvernementales (ONG) avançant que l'APE proposé est préjudiciable au Malawi et aux quinze autres nations pauvres dans le Comesa puisqu'il les empêche de protéger les industries locales avec des tarifs et autres mesures.
La semaine dernière, le 14 août, le ministère du Commerce a fait équipe avec des industriels et exportateurs du pays pour dresser une liste de 102 produits locaux pouvant être sensibles à la concurrence internationale et arrêter la position du pays sur les règles d'origine. Sur cette liste se retrouvent des produits rapportant des devises étrangères : le tabac, le coton, le thé, les textiles, le sucre et ses produits dérivés, entre autres. Elle a été dressée sur la base de plusieurs critères : sensibilité du revenu, sensibilité de l'emploi, et protection des petites industries.
Le Malawi a soumis cette liste le 15 août 2007 au secrétariat du Comesa, qui est en train de dresser une liste régionale pour examen au cours des négociations de l'APE. La liste initiale des produits sensibles en provenance du regroupement de l'Afrique orientale et australe (AfOA), dans les négociations de l'APE, a inclus 2.900 produits, l'Ouganda et le Kenya ayant les listes les plus longues. Après la réunion du 12e forum de négociation régional (RNF) organisé par le Comesa au début du mois d'août, il a été demandé aux pays de réduire le nombre des produits sensibles en consultation avec les parties prenantes.

Inter Press Service, 24 août 2007

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APE : Les Etats de l'Est harmonisent leurs positions

Selon un responsable du gouvernement kenyan, l'East African Community (EAC) va signer un accord de partenariat économique (APE) avec l’Union européenne après avoir examiné les questions relatives aux barrières commerciales avant le mois de décembre.
Le secrétaire permanent au Commerce et à l’industrie, David Nalo a indiqué que la Commission avait accepté d’intégrer les 16 pays de l’Afrique orientale et australe aux futures négociations avec l’Union européenne.
Dans le souci de protéger les marchés locaux, Nalo a précisé que les ministres du Commerce de l'EAC avaient entériné un document qui servirait d’accord commercial avec les 16 pays de l’Afrique orientale et australe pour les prochaines négociations commerciales avec l’UE. Il n’existe toutefois aucune indication sur la participation ou non de la Tanzanie à la signature de l’accord commercial étendu.

Agence de Presse Africaine, 22 août 2007

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Le Comesa consacre 100 millions de dollars aux projets d’infrastructures

Le Comesa, par la voix de son secrétaire général M. Erastus Mwencha, a annoncé son intention de dépenser 100 millions de dollars destinés aux projets d’infrastructures dans la région.
Le Comesa a d'ailleurs déjà institué un fonds préparatoire consacré au projet (PPF) d’infrastructures régionales fiables. L’amélioration des infrastructures dans la région va permettre d’accroître les échanges et de baisser le coût des affaires au sein du Comesa.
M. Mwencha a par ailleurs révélé que les discussions avec l’Union européenne (UE) concernant l’accord de partenariat économique (APE) avaient atteint une étape cruciale, dissipant les craintes d’une perturbation des échanges avant l’entrée en vigueur des APE en attendant la ratification des parties. Il a exprimé son optimisme de voir les négociations porter leurs fruits avant décembre, date butoir pour la signature de l’accord.

Agence de Presse Africaine, 23 août 2007

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Les dirigeants de l’Afrique de l’est mettent en veilleuse le projet de fédération

Les dirigeants des cinq Etats membres de l'East African Community se sont engagés à suspendre le projet d’accélération de la mise sur pied d’une fédération politique régionale, préférant finalement avancer en fonction de la feuille de route initiale.
A l’issue du sommet, les chefs d’Etat ont unanimement convenu d’une évolution progressive de leurs relations économiques, politiques et autres de leurs pays jusqu’à la réalisation de l’objectif final qui est de se doter d’une union politique.
Les dirigeants se sont également accordés sur la nécessité d’avancer rapidement sur la mise sur pied d’un marché commun et d’une union monétaire d’ici 2012 avant de poursuivre avec le projet d’édification de la fédération politique. Cette position contraste avec le plein soutien du Kenya, de l’Ouganda et de la Tanzanie pour le projet d’accélération de l’établissement de la fédération.
Ils ont en outre demandé au Burundi et au Rwanda d'accélerer le processus d'intégration dans l’union douanière de l'EAC, qui a a commencé par l’établissement de tarifs externes communs en 2005, et devrait évoluer en un marché commun et une union douanière calquée sur l’Union européenne à l’horizon 2012.

Agence de Presse Africaine, 21 août 2007

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mardi 21 août 2007

Choisir entre la SADC et le Comesa, un défi pour la Zambie

Le président zambien Levy Mwanawasa a avoué que la Zambie était confrontée à un défi : faire un choix entre la SADC et le Comesa.
Ce choix est d'autant plus difficile que le secrétariat général du Comesa est basé à Lusaka (Zambie) et que le président Mwanawasa est actuellement président en exercice de lz SADC.
Une solution consisterait à harmoniser les politiques des deux groupes économiques, plutôt que d'obliger les pays à choisir entre l'une des deux organisations, comme l'a demandé tout récemment la SADC.
Des économistes zambiens devraient avancer des propositions au gouvernement pour l'aider à choisir entre les deux groupes régionaux.

Le Potentiel - RD Congo, 21 août 2007

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APE : L'EAC veut négocier en tant que bloc

Les chefs d'Etat de l'East African Community (EAC) ont convenu que leur bloc d'intégration économique régionale devrait envisager de négocier d'une seule voix, l'accord de partenariat économique (APE) avec l'Union européenne (UE) .
Les ministres du Commerce et les ministres en charge de la coopération régionale des Etats membres ont été appelés à se réunir en urgence pour proposer une manière de négocier l'APE avec l'UE. L'idée que l'EAC étant une union douanière, devrait négocier un unique APE avec l'UE a fait l'objet d'un large consensus entre ses cinq pays membres. Quatre de ses Etats sont déjà disposés à négocier un accord EAC + APE qui permettrait à d'autres pays de s'y associer s'ils répondent aux conditions de l'union douanière de l'EAC.
Le Burundi et le Rwanda ont participé pour la première fois en tant que membres à part entière, ce statut leur ayant été accordé le 18 juin.

Xinhua, 21 août 2007

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L’Afrique de l’est dans l’attente du projet de fédération politique en discussion à Arusha

L'East African Community (EAC) tient en ce moment des discussions essentielles sur l’avenir de l'organisation, à Arusha (Tanzanie).
En bonne place de l'ordre du jour : l'’examen d’un rapport sur les consultations nationales en vue d’accélérer le processus vers l’établissement d’une fédération politique africaine.
Une enquête menée sur la question a montré la grande diversité dans l’opinion des populations vivant dans les capitales des trois Etats fondateurs de l'EAC (Tanzanie, Kenya et Ouganda), sur l’idée d’un regroupement régional en vertu de la proposition de la Communauté.

Agence de Presse Africaine, 20 août 2007

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APE : La Tanzanie pourrait regretter la négociation avec la SADC

Avec la décision des Etats membres de l'East African Community (EAC) de négocier seuls les accords de partenariat économique(APE) avec l'Union européenne (UE), la Tanzanie pourrait avoir à choisir entre une intégration régionale relativement réussie en Afrique de l'est et une solidarité politique avec l'Afrique du sud.
Pour rappel, la Tanzanie est le seul pays de l'EAC négociant les APE avec la SADC, alors que tous les autres négocient au sein de la configuration AfOA (Afrique australe et orientale), menée par le Comesa.
Plus l'échéance de la conclusion des APE approche, plus la situation de la Tanzanie au sein de la SADC devient difficile. Tout d'abord, l'Afrique du sud dispose de son propre arrangement avec l'UE. Ensuite, la SADC recouvre une union douanière (la SACU) dont la Tanzanie ne fait pas partie. Par ailleurs, il est plus que probable que la priorité de Prétoria sera d'harmoniser les questions de concurrence et de réglementation avec la SACU, avant de s'attarder sur les intérêts des partenaires non-SACU comme la Tanzanie.
Isoleée au sein du groupe SADC, la Tanzanie pourrait ne plus avoir d'autre choix de se retourner sur l'union douanière dont elle fait partie. La question est de savoir quel sera le prix d'une telle décision, sachant que Dar es Salaam entretient depuis longtemps des relations économiques et politiques avec l'Afrique du Sud.
Quels autres pays pourraient emboîter le pas de la Tanzanie ? Il pourrait y avoir le Mozambique, dont les exportations vers l'Afrique du sud sont marginales, mais qui entretient également des relations politiques fortes avec le pays. Le pays le plus intéressant à suivre sera la Zambie, qui sera obligée de reconsidérer ses relations avec la SADC du fait de son rôle moteur au sein du Comesa. En effet, la Zambie accueille le siège du Comesa mais joue également un rôle actif dans bon nombre d'institutions du Comesa.
Les récents développements à Arusha pourraient s'avérer être le début de réalignements majeurs. Selon le rôle que joue le Kenya au sein du Comesa, et si plusieurs pays du Comesa sont tentés par la signature de l'APE avec l'EAC, une avancée sera faite vers la mise en place d'une union douanière élargie entre l'EAC et le Comesa.

The East African - Kenya, 21 août 2007

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e-Comesa #118 - Le Comesa rend hommage au sommet de la SADC

Les autre titres abordés dans ce numéro :
- Le Comesa nomme un représentant spécial pour le Moyen-Orient
- Le projet de "boîte à outils" pour les PME
- Présentation du Famis

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lundi 20 août 2007

Les chefs d’Etat d’Afrique de l’est en sommet extraordinaire

Les chefs d’Etat de l'East African Community (EAC) se rencontrent actuellement à Arusha, siège de l’organisation, dans le nord de la Tanzanie, pour leur 6e sommet extraordinaire.
Les travaux porteront entre autres, sur le projet de création d’une Fédération politique régionale.
Des consultations nationales sont en cours sur la création de cette Fédération et sur la position de la Communauté sur les négociations avec l’Union européenne concernant les accords de partenariat économique.

Agence de Presse Africaine, 19 août 2007

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vendredi 17 août 2007

Le commerce intra-Comesa atteint 35%

Le commerce intra-Comesa compte pour près de 35% des échanges du Comesa et pèse aujourd'hui 6,44 milliards USD.
Ce sont les biens manufacturés qui tirent le commerce intra-régional à la hausse : ils représentent 49% du commerce intra-Comesa, suivis par l'alimentation et les matières premières agricoles (31%).
La difficulté réside, selon Erastus Mwencha, secrétaire général du Comesa, dans l'évaluation du commerce informel. Une étude en Ouganda a montré que le commerce informel, avec les cinq pays voisins, a évolué très rapidement. Phénomène également constaté ailleurs dans la région, ce qu'ont confirmé les représentants des autres pays présents à l'ouverture d'une consultation régionale sur la mise en place du régime commercial simplifié du Comesa (Comesa Simplified Trade Regime - STR)

East African Standard -Kenya, 16 août 2007

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Séminaire de sensibilisation sur le Famis

Début août s'est tenu un séminaire de sensibilisation sur le système d'information appelé Famis et destiné à promouvoir la commercialisation de produits agricoles et vivriers dans la région.
Ce séminaire a regroupé une trentaine de participants issus de divers milieux : commerçants djiboutiens impliqués dans l'import export de produits agricoles et producteurs.
Le représentant du secrétariat du Comesa, Raymond Kiesolo a présenté le Projet de promotion de la commercialisation des produits agricoles et d'intégration régionale (AMPRIP) , financé par la Banque africaine de développement, le secrétariat du Comesa et les Etats membres .
Le directeur de l'élevage et des services vétérinaires et point focal national du projet AMPRIP, le Dr Moussa Ibrahim Cheick, a pour sa part mis en exergue le volet concernant l'amélioration de la commercialisation agricole par la mise en place d'un système d'information sur la commercialisation agricole, appelé Système Famis. Famis est un système internet d'information sur la commercialisation de produits agricoles et vivriers de la zone Comesa.
Le système Famis
C'est un réseau de bases de données diffus sur le web contenant des informations sur la sécurité alimentaire, les mesures sanitaires et phytosanitaires et la commercialisation de produits agricoles.
Famis se veut être un outil d'aide à la décision en offrant aux investisseurs et aux commerçants de précieuses informations nécessaires dans l'exercice de leurs activités.
Plusieurs participants interrogés à la fin de l'atelier ont manifesté leur intérêt quant à l'utilisation du système.

La Nation - Djibouti, 15 août 2007

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e-Comesa #117 - Le Comesa précise son rôle en matière d'intégration régionale...

Les autres titres abordés dans ce numéro :
- Djibouti prêt pour le programme "Paix et sécurité" du Comesa
- Focus sur la zone d'investissement commune du Comesa
- Les négociations des APE

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La SADC ne permettra pas à ses membres d'adhérer au Comesa

Le conseil des ministres de la SADC recommande aux chefs d’Etat, réunis pour le sommet annuel à Lusaka (Zambie), de ne pas donner la possibilité aux Etats d'être à la fois membres de la SADC et du Comesa.
Le conseil des ministres informera les dirigeants que les Etats membres de la SADC devront choisir d’appartenir soit à la SADC soit au Comesa, mais pas les deux à la fois.
Il reviendra aux leaders, au cours du sommet de deux jours, de prendre une décision finale sur la démarche à suivre concernant la double adhésion dans les deux structures.
Cette annonce a été faite suite à l'adoption d'un rapport sur l’intégration régionale et économique.

Agence de Presse Africaine, 16 août 2007

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EN SAVOIR PLUS

Le 27e sommet ordinaire des chefs d'Etats et de gouvernements de la SADC

Ouverture des travaux du sommet de la SADC à Lusaka

jeudi 16 août 2007

La SADC pourrait laisser ses membres adhérer au Comesa

Les pays de la SADC, qui sont également membres du Comesa pourraient conserver leur double adhésion jusqu’à la mise en œuvre d’une véritable union douanière dans la région.
L’organisation régionale pourrait permettre aux pays de continuer à être à la fois membres de la SADC et du Comesa jusqu’à ce que soient réglés tous les problèmes liés à la mise sur pied d’une union douanière, et que les chefs d’Etat et de gouvernement décident de la prochaine étape à suivre.
Les pays concernés par la double appartenance
Angola, Madagascar, Malawi, Maurice, RD Congo, Swaziland, Zambie et Zimbabwe
La plupart des pays membres de la SADC ont déjà rempli les objectifs d’intégration visés à l’exception de quelques uns : Malawi, Mozambique, Tanzanie et Zimbabwe.

Agence de Presse Africaine, 14 août 2007

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jeudi 9 août 2007

Près de 100 millions de litres de lait gaspillé

Le Kenya perd 95 millions de litres de lait d’une valeur approximative de 15 millions de dollars par an, une situation causée par la mauvaise gestion et l’hygiène, a affirmé un responsable du secteur.
Cette perte est imputée au gaspillage dans le processus de production, aux rejets liés aux bactéries et au coût élevé des intrants.
Par ailleurs, le coût élevé de la production de lait au Kenya pourrait rendre le produit local moins compétitif sur le marché du Comesa. Le gouvernement et le Conseil des producteurs laitiers doivent réfléchir aux moyens de réduire le coût de production par rapport aux autres pays du Comesa.

Agence de Presse Africaine, 7 août 2007

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Le Comesa prévoit une harmonisation des bourses

Les responsables des bourses du Comesa se sont mis d'accord pour travailler vers une intégration de leurs marchés de valeurs.
Les responsables des places boursières d'Egypte, du Kenya, d'Ouganda, de Zambie,du Zimbabwe, de Maurice et d'Afrique du sud se sont réunis le mois dernier en Egypte. Cette rencontre a abouti à un plan d'action pour le développement et l'intégration des huit marchés de valeurs dans la région du Comesa.
Cette intégration devrait permettre aux investissseurs d'accéder plus facilement aux opportunités d'investissements dans l'ensemble de la région .
Bien que rien ne soit arrêté pour l'instant , cette intégration pourrait prendre la forme d'une vaste plateforme marchande commune, accessible via Internet.

The East African Standard - Kenya, 7 août 2007

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Le Zimbabwe lance des ateliers en vue du prochain sommet du Comesa

ZimTrade va organiser des ateliers de formation destinés à la communauté d'affaires locale sur les opportunités du Comesa.
Ces ateliers de sensibilisation s'inscrivent dans la préparation du 13e sommet des chefs d'Etat qui se tiendra au Zimbabwe au mois de mai prochain et préparation dans laquelle, ZimTrade, l'agence de promotion du commerce au Zimbabwe est très active. Elle fait en effet partie du comité en charge de l'organisation de l'événement et siège au comité de préparation du Forum des affaires.
L'agence a donc prévu d'organiser des ateliers à Harare, Bulawayo, Mutare et Masvingo, pour informer les opérateurs locaux des opportunités liées au Comesa. En termes de publicité, le sommet sera l'occasion de montrer que le Zimbabwe peut vendre ses produits à l'international, à travers le Forum des affaires et la Foire du Comesa, qui se tiendront en parallèle.

Xinhua, 7 août 2007

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Un atelier de formation en sécurité alimentaire à Djibouti

Un atelier de formation en sécurité alimentaire et alerte rapide, destiné à renforcer les capacités des pays membres du Comesa dans le suivi et l'évaluation de la sécurité alimentaire, par le renforcement du système d'alerte rapide, se tient actuellement à Djibouti jusqu'au 11 août 2007.
Entrant dans le cadre du projet AMPRIP (projet de promotion du commerce agricole et de l'intégration régionale), cette formation concerne six personnes, représentant des institutions clés du domaine de la sécurité alimentaire.
L'AMPRIP
L'objectif de l'AMPRIP est de promouvoir la croissance économique et stimuler l'intégration économique régionale dans les Etats membres du Comesa, pour assurer une sécurité alimentaire, ce qui passe par le renforcement des capacités nationales pour assurer un suivi régulier de la situation alimentaire et prévoir les situations d'alerte.
La Nation - Djibouti, 8 août 2007

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Le Comesa propose un mécanisme de transition pour le commerce ACP-UE

Le secrétaire général du Comesa, Erastus Mwencha, a suggéré la mise sur pied d’un mécanisme de transition afin d’assurer la continuité des échanges commerciaux entre les pays ACP et l’Union européenne (UE), au cas où les négociations entre les deux blocs ne seraient pas bouclées à la fin de l’année.
S’exprimant lors d'une conférence de presse à Pointe aux Piments (île Maurice), Erastus Mwencha a soutenu que les deux parties avaient leur part de responsabilité dans le retard accusé dans la signature des APE.
Il a également souligné que la 12e session du Forum régional pour les négociations (1 et 2 août) a a été concluante car elle a presque permis d’aboutir à un large consensus sur le document devant servir de point de départ aux négociations de l'AfOA. La prochaine session de ce forum se tiendra en septembre à Kigali, au Rwanda.

Agence de Presse Africaine, 8 août 2007

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mardi 7 août 2007

e-Comesa #116 - Plus de 400 ordinateurs pour les administrations des douanes des Etats-membres

Les autres titres abordés dans ce numéro :
- Le banchiment d'argent mine l'harmonisation des politiques - Ngwenya
- L'Ouganda continue à tirer profit du régime commercial du Comesa
- Le programme du Comesa sur la libre circulation des personnes, du travail et des services

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lundi 6 août 2007

ZimTrade vise le marché zambien

ZimTrade, organisme de promotion du commerce, multilplie ses efforts pour augmenter les exportations dans la région : il envisage d'implanter un hypermarché en Zambie qui commercialiserait les produits zimbabwéens.

L'étude de faisabilité pour l'installation d'une telle structure est portée par ZimTrade et devrait être rendue début 2008.
Pour Herbert Chakanyuka, directeur de ZimTrade, le marché zambien est une cible pour les produits du Zimbabwe : il leur est donc nécessaire de consolider la position du pays sur ce marché. Par ailleurs, la Zambie et le Zimbabwe étant tous les deux membres du Comesa, cela renforce l'avantage compétitif des produits du Zimbabwe par rapport à ceux des pays non-Comesa, notamment à cause des règles d'origine.
Une délégation de ZimTrade est actuellement présente en Zambie, à l'Agricultural and Commercial Show de Lusaka.

The Herald - Zimbabwe, 4 août 2007

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Le Comesa face au blanchiment d'argent

Les pays du Comesa se sont réunis pendant 3 jours à Lusaka (Zambie) pour réfléchir à une intégration régionale capable de faire face au blanchiment d'argent.
Le blanchiment d'argent pose un réel problème dans la mesure où il pourrait entraver le programme d'harmonisation financière. Les participants à cette réunion ont conclu à la nécessité d'un dialogue et d'une coopération fructueux pour aboutir à une politique concrètre, qui aiderait la région à résoudre ce problème.

Press TV, 5 août 2007

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Début des négociations en septembre pour un marché commun en Afrique de l’est

Le deuxième round des négociations pour la mise en place d’un marché commun des pays membres de l'East African Commmunity (EAC) est prévu le mois de septembre prochain.
Le marché commun régional devrait être lancé au mois de janvier 2010, après la signature en 2009 du protocole par le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie. Le Rwanda et le Burundi, nouveaux adhérents à l'EAC, devraient également s'y joindre après ratification du traité d’accession.
L’union douanière de l'EAC, signée en 2005, a été la première étape des efforts d’intégration régionale des trois pays membres.
Une fois mis sur place, le marché commun de l'EAC servira de bloc d’intégration régionale à une population de 100 millions d’habitants, avec un produit intérieur brut (PIB) de plus de 30 milliards USD. Il devrait concerner le commerce, les investissements, la technologie, la liberté de mouvement des personnes, des biens et des services.

Agence de Presse Africaine, 3 août 2007

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jeudi 2 août 2007

Prévenir les conflits

La sécurité et la stabilité sont des facteurs importants de l'intégration régionale. C'est à ce titre que s'est déroulé un atelier du Comesa à Djibouti, consacré à la la gestion et la prévention des conflits.
Animés par Mme Elisabeth Mutunga du Comesa, les travaux de cet atelier ont regroupé une trentaine de représentants de la société civile, l'objectif étant de les impliquer davantage l'ensemble dans le processus de prévention et de résolution des conflits, en partenariat avec les gouvernements des pays membres du Comesa.
Cet atelier est le septième après six autres organisés dans plusieurs pays membres du Comesa dont le Rwanda, la Zambie, le Kenya, le Burundi.

La Nation - Djibouti, 1er août 2007

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