mardi 31 juillet 2007

L'industrie automobile chinoise cible le marché kenyan

La Chine a décidé de faire du Kenya, la rampe de lancement de son industrie automobile dans la région : en plus de sa demande croissante de voitures, le Kenya est bien parti pour devenir le centre névralgique du Comesa.
Selon Mr. Zhang, ambassadeur de Chine au Kenya, la coopération commerciale bilatérale que la Chine entretient avec le Kenya a facilité la création d'un marché favorable pour l'industrie automobile chinoise et a ouvert des opportunités d'affaires pour les investisseurs chinois.
Mr. Zhang Ming s'exprimait au cours de l'exposition internationale de pièces et autres accessoires automobiles à Nairobi.

Agence de Presse Africaine, 28 juillet 2007

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EN SAVOIR PLUS

Le Kenya pourrait enregistrer une croissance de 7%

e-Comesa #115 - Le 12e Forum régional de négociations

Les autres titres abordés dans ce numéro :
- Le Comesa cherche à intégrer un marché de valeurs régional
- Le site web du Famis transféré au Comesa
- AGOA : la clé du succès du secteur privé et de la société civile
- L'importance du biocarburant dans la région du Comesa

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jeudi 26 juillet 2007

Maurice accueille le forum de négociation régional des APE

Un forum de négociation régional du groupe Afrique orientatle et australe (AfOA), dans le cadre des accords de partenariat avec l'Union européenne (UE), se tient actuellement à l'île Maurice.
Ces sessions dédiées sont consacrées entre autres aux questions de la pêche et de l'accès au marché. Par ailleurs, elles examineront en détail les commentaires de l'Union européenne sur les propositions du groupe AfOA. Ce forum de négociation régional devrait également déboucher sur un consensus sur la position à adopter pour la prochaine session de négociation UE-AfOA prévue pour septembre 2007. Environ une soixantaine de participants originaires des pays de l'AfOA participe à ce forum de négociation régional.

African Press Agency - 25 juillet 2007

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lundi 23 juillet 2007

Maurice veut consolider sa place dans l’axe Chine-Afrique

Face aux investisseurs chinois, Maurice joue la carte africaine. C'est sous ce signe qu'était placé le voyage du Premier ministre en Chine.
Le Premier ministre, Navin Ramgoolam, qui revient d’une visite d’Etat de Chine, parle de nouvelle ère de coopération économique avec le géant chinois, relation qui conforte l’ambition de Maurice de devenir un hub d’affaires dans la région.
Concrètement, cette visite aura été l'occasion de négocier une ligne de crédits de 3,5 milliards de roupies (un peu plus de 82 millions d'euros), l’accord pour la zone économique du groupe chinois Tianli à Riche-Terre, de nouvelles opportunités d’investissement chinois à Maurice dans le cadre des nouveaux rapports entre la Chine et le continent africain.
La création prochaine de la zone économique de Tianli donne du sens à cette vision de fenêtre stratégique sur l’Afrique. Les entreprises qui s’y installeront visent avant tout le marché africain et bénéficieront de l’accès préférentiel du pays dans les marchés du Comesa et de la SADC.

L'Express - Maurice, 23 juillet 2007

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e-Comesa #114 - La réforme régionale des marchés publics lancée

Les autres titres abordés dans ce numéro :
- L'Agoa a permis d'augmenter les échanges entre l'Afrique et les Etats-unis (Ngwenya)
- Le programme de reconstruction et développement post-conflit devrait transformer les pays
- Le secteur de l'assurance devrait être libéralisé au sein du Comesa (Mwencha)

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L’EAC entreprend une étude sur les barrières non tarifaires en Afrique de l’est

Une seconde étude sur les barrières non tarifaires, entrave au commerce entre les trois pays de l'East African Community (Tanzanie, Kenya et Ouganda), a été lancée sur l’île autonome de Zanzibar.
Pour le responsable des Affaires douanières et commerciales de l’EAC, Peter Kiguta, une amélioration de l’environnement des affaires et du commerce dans la région et le renforcement des efforts d’intégration régionale sont nécessaires.
Après une première étude en 2004, ce travail mettra l’accent sur les procédures douanières et l’immigration, les permis de travail, l’inscription au registre de commerce et le processus de délivrance de permis, ainsi que les barrages de police.

Agence de presse africaine, 19 juillet 2007

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jeudi 19 juillet 2007

Le président Ismaïl Omar Guelleh en visite officielle en Zambie

La visite d'Etat qu'effectue le Président Ismaïl Omar Guelleh en Zambie s'inscrit dans le cadre des relations de coopération et d'amitié qu'entretiennent les deux pays.
Le président zambien, Patrick Mwanawasa a rendu hommage au président Guelleh pour le rôle joué par Djibouti pour faire avancer l'intégration régionale lors de sa présidence du Comesa.
Pour sa part, le chef de l'Etat djiboutien a insisté sur la mise en place rapide de l'union douanière du Comesa, tout en rappelant que sept pays avaient déjà ratifié le projet d'union douanière. Panafricaniste convaincu, le président Ismaïl Omar a surtout insisté sur la nécessité pour les pays africains de jeter les bases d'une intégration effective pour une autosuffisance dans tous les domaines, condition sine qua non pour le développement du continent.

La Nation - Djibouti, 18 juillet 2007

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ARTICLE LIE

Clôture de la visite d'Etat de 48 h du Président Guelleh en Zambie

mardi 17 juillet 2007

e-Comesa #113 - Réunion sur la reconstruction à Lusaka

Les autres titres abordés dans ce numéro :
- Le Japon réaffirme son soutien au Comesa
- La ZEP-Re ouvre un bureau à Lusaka
- Le partenariat Inde - Afrique en 2007
...

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L'industrie sucrière pour le maintien des taxes sur le sucre importé

Les industriels du sucre souhaitent que la taxe de 100% sur le sucre importé soit maintenue, précisant que la fin de la clause de sauvegarde conduirait à l'effondrement du secteur.
Cette protection, qui taxe le sucre en provenance des pays du Comesa à 100%, prend fin en mars 2008.
L'ouverture du marché local pourrait entraîner une augmentation conséquente des importations de sucre bon marché. Pour Sudeep Mohanty, responsable marketing à la Sugar Corporation of Uganda, il faut trouver une mesure qui empêcherait l'arrivée de sucre non taxé en Ouganda. "Les pays du Comesa bénéficient d'économies d'échelle, ce qui leur permet d'exporter du sucre vers le marché de l'EAC".
Pour Richard Orr, manager général de Kakira Sugar Work, l'Ouganda a aujourd'hui le choix : produire localement son sucre et maintenir des emplois ou l'importer. L'industrie du sucre représente 20.000 emplois directs et plus de 150.000 emplois indirects, pour une production de 191.256 tonnes et les prévisions estiment la demande à près de 750.000 tonnes en 2030.
Toutefois, les industriels se préparent au non renouvellement de la clause de sauvegarde. "Nous nous préparons à toute éventualité et nous saurons rester compétitifs". Plus de 100 millions USD ont été investis dans les trois usines sucrières et les industriels travaillent actuellement à une diversification pour demeurer compétitifs.

The New Vision - Ouganda, 16 juillet 2007

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Le secteur privé invité à s'impliquer dans la politique commerciale

Le secteur privé et particulièrement, les commerçants, devraient être impliqués dans la formulation de la politique plutôt que d'être réactif.
Gabriel Hatega, directeur général de la Private Sector Fundation (PSFU), précise que si le secteur privé se contente de réagir, il pourrait être le grand perdant. Il encourage donc ses membres à être proactifs en ce qui concerne la formulation des politiques commerciales.
La PSFU a mis en place une équipe sur les problématiques du Comesa (l'Ouganda ne fait toujours pas partie de la zone de libre-échange) et des accords de partenariat économique (APE), entre autres.

The New Vision - Ouganda, 16 juillet 2007

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Le gouvernement approuve le schéma de garantie douanière du Comesa

Le gouvernement zimbabwéen, par la voix de son ministre des Transports et des communications, Christopher Mushohwe, a approuvé le schéma régional de garantie douanière du Comesa, en marge d'un atelier de travail sur le sujet qui s'est tenu récemment à Harare.
Christopher Mushohwe a souligné que le schéma devrait profiter aux Etats membres, dans la mesure où il va induire une réduction significative des coûts de transports et de logistique. "A l'heure actuelle, les Etats membres font face à une situation difficile : économies d'échelle, éloignement des ports et faibles volumes commerciaux pèsent sur les coûts de transport, ce qui diminue la compétitivité des biens et services locaux au plan international".
Depuis le lancement du schéma en Ouganda l'année dernière, le nombre de pays signataires s'élève à 10.

The Herald - Zimbabwe, 16 juillet 2007

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vendredi 13 juillet 2007

APE : le Kenya pourrait y perdre

Le Kenya fait partie des pays ACP actuellement engagés dans la négociation d'accords de partenariat économique avec l'Union européenne (UE). Quelles en sont les implications pour le pays ?
Auparavant, le commerce entre l'UE et le Kenya était basé sur un accès préférentiel au marché européen. Les nouveaux arrangements dans le cadre des APE vont libéraliser les tarifs douaniers : les pays africains devront, en application du principe de réciprocité, ouvrir leurs marchés aux produits européens. Par ailleurs, les APE pourraient créer des nouvelles règles visant à la libéralisation dans des domaines tels que l'investissement, la propriété intellectuelle et les services. Ces mesures pourront avoir des impacts variés sur les économies ACP.
Le Kenya Institute of Public Policy Research and Analysis (KIPPRA) évalue à 15% les pertes pour le commerce régional du Kenya. Toutefois, le gouvernement a identifié des secteurs prioritaires à forte valeur ajoutée, pour doper la compétitivité des producteurs locaux et diversifier les produits et les marchés à l'export.

Business Daily - Kenya, 10 juillet 2007

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L'AGOA a créé des milliers d'emplois

Sept années après sa mise en place, l'African Growth and Opportunity Act (AGOA) continue de stimuler les économies africaines en tirant la croissance grâce à l'export.
Sindiso Ngwenya, secrétaire général adjoint du Comesa, a salué l'AGOA pour son rôle déterminant dans l'intensification des échanges commerciaux entre l'Afrique et les Etats-unis et l'instauration d'une plateforme pour le dialogue politique entre les Etats-unis et les pays éligibles. Il ajoute par ailleurs, que l'AGOA est une preuve incontestable de "l'effort des Etats-unis pour la croissance économique et la lutte contre la pauvreté en Afrique. Les progrès réalisés sous l'AGOA ont contribué à la création de nombreux emplois et a généré des investissements substantiels en Afrique".

Tout en soulignant les "gains considérables" dans les deux sens depuis que l'AGOA a pris effet, le représentant du Comesa constate qu'une part trop importante de ce commerce se situe dans le secteur des énergies : les exportations de gaz et de pétrole ves les Etats-unis s'élèvent à 82% de l'ensemble du commerce sous AGOA en 2006.

US Info, 12 juillet 2007

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Se préparer au tarif commun

Un haut fonctionnaire du ministère des Finances du Zimbabwe a incité la communauté d'affaires à se préparer, d'ores et déjà, au système du tarif commun du Comesa si le pays veut en tirer profit.
"Vous devez être prêts" : c'est en substance le message de Judith Kateera aux acteurs économiques lors d'une réunion de la Chambre de commerce à Harare. L'union douanière du Comesa va faciliter le commerce des biens entre les Etats membres mais elle devrait également permettre de doubler les investissements et d'augmenter le marché pour les produits de la région. Elle doit être envisagée comme un moyen d'augmenter les échanges, les investissements et la coopération économique dans un premier temps, entre les Etats membres et par la suite, entre le bloc régional et le reste du monde.
Depuis la mise en place de la zone de libre-échange en 2000, le commerce intra-Comesa est passé de 1 milliard USD à près de 9 milliards USD fin 2005.

The Herald - Zimbabwe, 12 juillet 2007

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jeudi 12 juillet 2007

e-Comesa #112 - Les parlementaires de l'AfOA tracent les grandes lignes de la négociation APE

Les autres titres abordés dans ce numéro

- Les ambassadeurs de l'AfOA et la Commission européenne se rencontrent sur les APE
- La Banque africaine de développement assiste le Comesa dans son action de renforcement de l'intégration régionale
- Les Seychelles projettend'intégrer la zone de libre-échange
- La PTA Bank sollicite le Mozambique
...

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Appel à la prudence avant les négociations avec l’UE

Lors de l'ouverture d’une session de trois jours, organisée par le Comesa, sur le commerce des services, le ministre malawite de l’Industrie et du commerce, M. Ken Lipenga a demandé aux Etats membres, d’étudier "attentivement" la question du commerce des services, avant d’entamer les négociations avec l’Union Européenne sur les accords de partenariat économique (APE).
M. Lipenga a estimé que les pays devraient d’abord mettre en place des mécanismes spéciaux, de protection dans le domaine du commerce des services. Pour sa part, le directeur des Affaires douanières et monétaires du Comesa, Charles Chanthunya, a précisé que l’amélioration des services joue "un rôle essentiel" dans le développement économique, mais a déploré, les délais très courts impartis pour les négociations APE : "des délais plus raisonnables auraient permis de s’assurer que le développement équilibré des différents pays de la région ne serait pas compromis".
Entre autres sujets au menu des discussions qui prennent fin vendredi, les participants aborderont le cadre régional qui devra donner les grandes lignes pour l’élaboration du document relatif aux services, en direction des négociations avec l’Union européenne, en décembre.

APA, 12 juillet 2007

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Les gouvernements africains appelés à chercher avec l'UE des priorités de développement

L'agence pour le développement mondial ActionAid a encouragé les gouvernements africains, dans le cadre des négociations des accords de partenariat économique (APE) avec l'Union europeénne, à avoir des positions en phase avec les besoins des citoyens et les priorités du développement à long terme de l'Afrique.
ActionAid a déclaré dans un communiqué publié à Nairobi que les arrangements entre l'Union européenne (UE) et les pays des ACP ( Afrique-Caraïbes-Pacifique) ruineront l'agriculture et l'industrie africaines et met en garde les gouvernements africains contre eux.
"ActionAid demande aux gouvernements africains de chercher des alternatives qui leur permettront de continuer à vendre leurs produits aux marchés européens et de ne pas se précipiter dans la signature de l'accord de partenariat économique qui oppose les petits fermiers et la jeune industrie africaine à une Europe établie, aux biens et aux services subventionnés", juge ActionAid. L'accord devrait être signé avant début 2008 entre l'UE et les pays des ACP dont la SADC et le Comesa.

Xinhua, 11 juillet 2007

Lire le communiqué de presse d'ActionAid

Le Kenya est devenu le premier pays producteur de lait du Comesa

Le Kenya est le premier pays producteur de lait dans le Comesa, avec une production annuelle de près de 4 milliards de litres.
Viennent ensuite l'Egypte et l'Ethiopie avec des productions respectives de 1,9 et 1,4 milliards de litres, selon l’Association des producteurs de lait de l’Afrique orientale et australe.
Pour son président, seuls le Kenya et l’Ethiopie, en excédent de production, ont un marché prêt à approvisionner les autres pays du Comesa. Selon les statistiques, le Comesa enregistre un déficit laitier de deux milliards de litres.

Agence de presse africaine, 10 juillet 2007

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mardi 10 juillet 2007

Un appel pour l'intégration des organisations africaines

Un organisme indépendant de recherche et de formation a mis en évidence le besoin de rationnaliser les multiples appartenances aux différentes organisations régionales en Afrique orientale et australe, afin de tirer le maximum de bénéfices de l'intégration.

Selon le Trade and Development Studies Centre Trust (Trades Centre), l'intégration régionale en Afrique orientale et australe a mis sur le devant de la scène, la SADC et le Comesa, dont les objectifs sont sensiblement les mêmes (mise en place de zones de libre échange et d'unions douanières).
Mais d'autres défis se posent si elles veulent que leurs pays membres tirent profit des bienfaits de l'intégration régionale. L'un d'entre eux est lié au besoin de rationnaliser les multiples appartenance de leurs pays membres à différents accords de libre échange dans la zone (cf schéma ci-dessous).
Même si à l'heure actuelle, les zones de libre-échange de la SADC et du Comesa peuvent co-exister, la situation ne pourra pas durer avec l'entrée en vigueur des unions douanières. En effet, il n'est techniquement pas possible pour un pays d'appartenir à plus d'une union douanière et donc, d'appliquer plus d'un tarif extérieur commun (TEC). La question de la multiple appartenance est donc fondamentale en matière d'intégration régionale.
Ces constats arrivent à un moment où les pays africains sont focalisés sur les négociations des Accords de partenariat économique avec l'Union européenne, avec la fin des préférences de Cotonou en décembre 2007.

Zimbabwe Standard - Zimbabwe, 8 juillet 2007

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EN SAVOIR PLUS

Télécharger la newsletter du Trades Centre de juin 2007

Le Rwanda rejoint l'EAC

Le Rwanda, en devenant membre de l'East African Community (EAC), a l'intention de s'investir dans cette organisation régionale selon Charles Murigande, le ministre des Affaires étrangères.
Le Burundi et le Rwanda ont signé le traité d'accession à l'EAC le 18 juin dernier, accession devenue effective au début du mois de juillet. Le Rwande ne compte pas ménager ses efforts selon les dires de son ministre des Affaires étrangères : "J'ai déjà eu l'occasion de dire à mes collègues de l'EAC qu'ils trouveront en nous des partenaires sérieux ; ceux qui ont eu l'occasion de travailler avec nous au Comesa et à l'Union africaine, connaissent notre contribution à ces organisations."
La nouvelle configuration en Afrique de l'est
Avec l'arrivé du Burundi et du Rwanda, l'EAC compte aujourd'hui 5 pays soit une communauté économique de 115 millions de consommateurs. Rappelons que les pays de l'EAC sont également membres du Comesa, exception faite de la Tanzanie et que l'union douanière de l'EAC est effective alors que celle du Comesa est programmée pour 2008.
New Times - Rwanda, 8 juillet 2007

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EN SAVOIR PLUS
Lire le communiqué de presse de l'EAC sur l'adhésion du Burundi et du Rwanda

jeudi 5 juillet 2007

Le Comesa vers l'union douanière

Le Comesa, zone de libre échange de 10 pays, va passer une étape majeure en matière d'intégration en devenant une union douanière. C'est le message fort qui est passé lors d'un séminaire de sensibilisation organisé par le Comesa et l'Agence des marchés publics du ministère éthiopien des Finances et du développement économique.
En décembre 2008, le Comesa évouera en union douanière, ce qui signife que les pays membres vont aller plus loin en matière d'intégration en réunissant leurs espaces douaniers en un seul, avec la mise en place d'un tarif extérieur commun (TEC). Ce passage à l'union douanière doit leur permettre de promouvoir le commerce intérieur et transfrontalier et attirer les investissements directs étrangers pour tirer profit d'un vaste marché unifiié. Il est donc nécessaire de moderniser le système économique et les politiques sociales, et de préparer les acteurs régionaux à affronter la concurrence internationale. Des réformes et une harmonisation des procédures de passation des marchés publics sont donc nécessaires.

Daily Monitor - Ethiopie, 4 juillet 2007

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mardi 3 juillet 2007

Le Comesa lance un système d'information agricole électronique

Le système d'information électronique sur l'agriculture appelé "Food and agricultural market information system" (Famis)", a été lancé cette semaine, à Maurice.
Selon le ministre mauricien de l'Agro-industrie, Arvin Boolell, le but de Famis est d'améliorer la commercialisation agricole en disséminant des informations sur le commerce et les marchés. Boolell a invité les pays membres à partager les informations utiles et à interagir entre eux dans le but de mettre en place des politiques précises concernant les initiatives transfrontalières.

AngolaPress - Angola, 3 juillet 2007

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