jeudi 29 novembre 2007

La montée des prix pétroliers menace l'économie des pays du Comesa

La montée en flèche des prix du pétrole sur le marché international menace l'économie des pays du Comesa, a estimé le vice-président zambien Rupiah Banda.
La zone du Comesa a réalisé un taux de croissance annuelle de 5% au cours des trois années passées, mais cela serait renversé si les prix du pétrole continuaient à monter, a estimé le vice- président zambien. Il a exhorté les pays de la région à développer les sources énergétiques alternatives comme le biocarburant. M. Banda a affirmé que la Zambie mettrait en place une loi favorisant les investissements du secteur privé dans la production du biocarburant.

Xinhua, 27 novembre 2007

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Ouverture d’un atelier de sensibilisation sur le lancement du processus du PDDAA

Un atelier de sensibilisation sur le lancement du processus du Programme détaillé pour le développement de l’agriculture africaine (PDDAA) s'est tenu à Djibouti, sur les thèmes de l'extension du secteur agricole grâce à une gestion durable de l’eau et des terres, et du développement de l’élevage, des pêches et des forêts.
Organisé conjointement par le ministère de l’Agriculture, le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (Nepad) et le Comesa, cet atelier est destiné à informer les acteurs du secteur primaire sur les principes cibles du programme PDDAA. Le professeur William Otim Nape, chef du projet PDDAA a exposé les principaux objectifs de ce programme : améliorer la recherche agricole, les infrastructures rurales et l’accès aux marchés.
Ce programme, dans la lignée des Objectifs du millénaire pour le développement et approuvé lors de la deuxième assemblée ordinaire de l’Union africaine en 2003, ambitionne 6% de croissance annuelle dans le secteur agricole. Il identifie quatre domaines majeurs pour les investissements : terre et gestion de l’eau, infrastructure rurale et capacités d’accès aux marchés, nourriture et réduction de la faim, recherche agricole et vulgarisation.
La mise en exécution du PDDAA a été validée en novembre 2006, lors du sommet des chefs d'Etats de Djibouti.

Agence djiboutienne d'informations, 27 novembre 2007

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L'EAC accepte de signer les APE

Selon le Commissaire européen pour le Commerce, Peter Mandelson, les pays de l'East African Community (EAC) ont décidé de signer les accords de partenariat économiques (APE) proposés par l’Union européenne.
Malgré un plan étalé sur 24 ans qui devrait, de manière progressive, ouvrir leur marché à l’Europe, certaines industries locales resteront protégées de la concurrence européenne.
Conformément aux dispositions du nouveau traité, environ un cinquième des échanges commerciaux avec l'EAC ne sera pas concerné par la réduction drastique des droits de douane, surtout pour les produits industriels et agricoles.
M. Mandelson a précisé que les négociations devraient se poursuivre l’année prochaine, pour arriver à des APE plus larges en 2009.
L’Afrique de l’ouest et certains pays de l’océan Pacifique n’ont pas encore accepté de signer les nouveaux arrangements conçus à leur intention par l’Union européenne.

Agence de presse africaine, 28 novembre 2007

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mardi 27 novembre 2007

La décision du Comesa sur la protection du sucre attendue

Une décision du Comesa sur l'extension d'une clause de sauvegarde pour le Kenya et son industrie du sucre est attendue aujourd'hui.
Bien qu'il y ait eu des signes que l'extension serait accordée pour une autre période de 4 ans, le conseil des Ministres du Comesa devrait avoir le dernier mot après la série de consultations à Lusaka la semaine dernière.
Dans l'accord préférentiel actuel, le Kenya n'autorise que 200.000 tonnes métriques de sucre en provenance de la ZLE du Comesa sur son marché local. Cette situation fait suite à une décision du conseil des Ministres ayant statué sur le fait que son industrie ne survivrait pas face à la l'importation massive de produits plus compétitifs. Au-delà de ce quota, toutes les importations sont taxées à 110%.
Mais à quelques mois de l'expiration de la clause de sauvegarde en mars 2008, l'industrie locale du sucre reste vulnérable si bien que l'Etat et les acteurs du secteur recherchent une extension de la garantie.
La décision se fera sur la base d'un rapport d'une mission technique du secrétariat général du Comesa un peu plus tôt dans l'année, rapport qui préconise qu l'industrie du sucre devrait bénéficier d'un peu plus de temps pour mettre en place les réformes mais à condition que ces réformes soient radicales.
L'une des recommandations importantes de la liste est le retrait du contrôle de l'Etat sur l'industrie à travers un programme de privatisation rapide dans les 2 ans qui viennent. Ceci devrait être soutenu par une nouvelle politique de l'énergie qui promeut la co-génération et la production de biocarburant pour en finir avec la dépendance des industriels à l'égard d'un seul produit, et améliorer leur compétitivité sur le maché régional.
L'Etat devra également intensifier la recherche sur le saccharose et les variétés de canne à maturation rapide, pour permettre une nouvelle tarification basée sur la teneur en sucre et non pas sur le tonnage. La proposition la plus drastique consiste en une hausse constante du quota de sucre importé, parallèlement à une diminution progressive des taxes jusqu'à la pleine libéralisation en 2012.

Business Daily - Kenya, 26 novembre 2007

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mardi 20 novembre 2007

L’Afrique de l’Est prête à signer les APE, selon un diplomate européen

La Commission Européenne (CE) est confiante quant à la finalisation des négociations sur les accords de partenariat économique (APE) avec les pays d’Afrique de l’est, avant la date butoir du 31 décembre 2007.
Pour Douglas Carpenter, conseiller pour les Affaires économiques à la Commission européenne, la CE et la CAE ne pourraient peut-être pas conclure un accord total, mais les partenaires sont déterminés à respecter scrupuleusement les délais impartis pour ces négociations sur le libre accès au marché et au secteur des biens.
Carpenter qui est également chargé des affaires de la CAE au sein de la Commission a ajouté que les négociations entre les deux parties avaient commencé au début de la semaine dernière et devraient se poursuivre cette semaine au niveau ministériel.
Le secrétaire général de la CAE, Juma Mwapachu, a assuré les milieux d’affaires de la Tanzanie qu’ils auront accès au marché de l’Union Européenne dès le 1er janvier 2008.

Agence de presse africaine, 19 novembre 2007

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ARTICLE LIE

Les APE feront perdre 162,5 millions de dollars par an aux pays de l'Afrique orientale

lundi 19 novembre 2007

Le commerce avec l'UE ne peut remédier aux problèmes de l'Afrique

Le secrétaire général du Comesa Erastus Mwencha, a affirmé que les échanges commerciaux avec l'Union européenne (UE) ne constituaient pas l'unique solution de développement pour l'Afrique.
Pour M. Mwencha, la priorité est l'intégration régionale, et notamment en lien avec l'accord de partenariat économique avec l'UE, car elle constitue le socle d'un développement durable, en soutenant le développement économique.
La semaine dernière, lors d'une réunion à Bruxelles, l'UE et les membres du Comesa ont convenu de reporter le délai de l'APE à décembre 2008, au lieu de décembre 2007. Malgré l'absence d'une réciprocité du marché, l'UE a accepté d'ouvrir son marché à partir du premier janvier 2008, sans droits de douane ni quotas, aux marchandises du pays membres du Comesa, à l'exception du riz et du sucre.

Maghreboo - Agences, 18 novembre 2007

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vendredi 16 novembre 2007

Les coûts de transit au sein du Comesa vont baisser de 25%

Le coût de transport des marchandises au sein du Comesa devrait diminuer de 25% suite à l'établissement de la garantie de transit douanier.
La garantie régionale du transit douanier, connue sous le nom de Carnet du Comesa permettra aux transporteurs et aux transitaires d'acheter un seul titre pour assurer les mouvements de biens à travers la région, alors qu'actuellement, il faut acheter un titre dans chacun des pays traversés. Le Carnet devrait permettre aux transporteurs et aux commerçants de réduire de façon significative les coûts liés aux garanties de près de 50%.
Selon Sam Nahamya, secrétaire permanent au minsitère du Commerce ougandais, "
des coûts de transport élevés constituent un réel frein aux échanges : une haussee de 10% sur les coûts du transport conduit à une diminution de 20% des échanges".
Dix Etats du Comesa ont ratifié le projet, en vue d'accélérer l'intégration économique de la région : Kenya, Ethiopie, Zimbabwe, Soudan, Burundi, Djibouti, Rwanda, Malawi et Madagascar.

New Vision, Ouganda - 15 novembre 2007

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APE : L'UE ouvrira son marché en 2008

L'Union européenne (UE) commencera dès janvier à ouvrir son marché aux produits de l'AfOA (Afrique orientale et australe), a indiqué Erastus Mwencha, le secrétaire général du Comesa .

C'est ce qui a été convenu lors d'une récente réunion à Bruxelles : les pays de l'AfOA pourront exporter leurs produits en Europe, en hors-taxe sauf pour le sucre et le riz ; parallèlement, ils commenceront à libéraliser leurs marchés sans modifier leurs droits de douane, au terme d'un moratoire de 10 ans et d'une période de transition de 25 ans.
Erastus Mwencha estime à 27 milliards d'euros le montant nécessaire à la région pour se préparer à la mise en place de cet accord. L'UE s'est d'ores et déjà engagée à hauteur de 2 milliards d'euros par an à compter de 2010.

Xinhua, 16 novembre 2007

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ARTICLE LIE

Kenya gets 25 years Market Protection to EU Market

lundi 12 novembre 2007

L'Union africaine salue les efforts du Comesa

Le Commissaire de l'Union africaine pour les affaires économiques a salué les efforts du Comité des Gouverneurs des banques centrales du Comesa pour réaliser une approche monétaire et financière dans les Etats membres en particulier et en Afrique, de façon générale.

L'Union africaine, suit de près les progrès réalisés par les Etats du Comesa dans les champs de la coopération monétaire, de l'établissement du système de paiement et de transfert de monnaie entre les Etats membres.
Le Commissaire pour les affaires économiques a souligné que les progrès réalisés par les Etats du Comesa vont aider à lutter contre la pauvreté et aider au développement durable du continent. Il a conclu son intervention en appelant à la standardisation en matière de statistiques financières sur le continent.

Mathaba News Agency, 10 novembre 2007

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Le Comesa travaille sur les TIC

Les pays membres du Comesa vont tirer profit d'une politique harmonisée en matière de TIC, a annoncé Amos Marawa, directeur de la division Développement des infrastructures, lors de l'ouverture d'une réunion conjointe des comités sur le transport, la communication et l'énergie au Rwanda.
Il a présenté les programmes du Comesa en matière de TIC et d'harmonisation au sein desquels chaque Etat membre peut réaliser des études, réviser et développer des politiques en matière de TIC. Il a cependant dénoncé le coût élevé de l'électricité, ajoutant qu'il y avait un besoin pour les Etats membres de mener une action immédiate.
Parallèlement, sur la question des transports, le ministre des Infrastructures du Rwanda, Stanislas Kamanzi, a ajouté que l'évaluation des projets et la mise en place de directives claires constituaient des priorités de l'agenda. Il a également insisté sur la nécessité d'un réseau de transport et de communication, car il impacte de façon positive la réussite des autres programmes d'intégration dans la région.
La réunion a rassemblé des participants des pays suivants : Kenya, Malawi, Rwanda, Tanzanie, Ouganda, Zambie et Zimbabwe.

The New Times - Rwanda, 9 novembre 2007

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vendredi 9 novembre 2007

APE : Le Kenya pourrait perdre plus de 240.000 emplois

Plus de 240.000 travailleurs du secteur industriel formel du Kenya pourraient perdre leur emploi si le gouvernement ratifie le nouvel accord de partenariat économique (APE). Tel est le message des organisations de la société civile.
La vingtaine d’organisations de la société civile a indiqué que 65% des produits fabriqués localement seront touchés par cet accord réciproque de libre échange entre les ACP et l’Union Européenne (UE). Ces organisations demandent au gouvernement de dénoncer cet accord au profit d’un système généralisé d’accord de préférences. Les estimations chiffrent à 40 millions USD la perte sur les recettes d'exportation suite à à la levée des restrictions sur toutes les importations, comme le stipulent les APE.
Leur position est simple : il s'agit de rejeter l’accord jusqu’à la mise en place d’un cadre réglementaire adéquat pour l’harmonisation des dispositions légales.
En attendant, les négociations UE / ACP se poursuivent à Bruxelles pour aboutir cette semaine à un accord, avant l’expiration de la date limite fixée au 31 décembre prochain.

APA, 7 novembre 2007

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jeudi 8 novembre 2007

Le Comesa pour un régime d'assurance homogène

Le Comesa est en discussion avec la SADC pour étendre la portée géographique le régime d'assurance transfrontalier.
Erastus Mwencha, secrétaire général du Comesa, estime que les négociations devraient aboutir à l'acceptation par les deux instances régionales, de la carte jaune du Comesa et du système de taxe sur le carburant de la SADC. Ce qui à terme, devrait améliorer les bénéfices des automobilistes voyageant à travers les deux blocs.

Business Daily - Kenya, 6 novembre 2007

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mardi 6 novembre 2007

Le Zimbabwe va bientôt choisir entre la SADC et le Comesa

Le gouvernement du Zimbabwe est sur le point de se prononcer sur le choix entre le Comesa et la SADC.
A l'heure actuelle, le Zimbabwe et un certain nombre de pays sont membres du Comesa et de la SADC, mais le sommet des Chefs d'Etat de la SADC réuni à Maseru a affirmé qu'un pays ne devait appartenir qu'à une seule organisation régionale. Des consultations sont en cours au Zimbabwe pour décider laquelle des deux organisations rejoindre.
Selon la directrice du Commerce international au ministère du de l'Industrie et du commerce international, Beatrice Mutetwa, les deux organisations régionales offrent bien évidemment des avantages, dans la mesure où ils ouvrent des perspectives sur des marchés lucratifs. Cependant, le Comesa présente plus d'opportunités pour le Zimbabwe que la SADC, en raison de la taille de son marché. "Actuellement, notre commerce au sein de la région du Comesa est élevé parce que le marché est immense et lucratif, alors qu'au sein de la SADC, seule l'Afrique du Sud commerce avec le pays. Cependant, la décision se fera en concertation avec le secteur industriel et sur la base d'autres facteurs", a-t-elle ajouté.

The Herald - Zimbabwe, 6 novembre 2007

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Réunion à Tripoli du comité des Banques centrales du Comesa

Le comité des experts des affaires financières et monétaires des Banques centrales des pays du Comesa a tenu sa 12e réunion préparatoire à la rencontre annuelle des gouverneurs des Banques centrales.
La rencontre a permis d'adopter l'ordre du jour qui comprend les rapports sur le progrès réalisé dans le système des balances de paiement et des règlements régionaux, les critères de convergence économique pour 2006, les politiques monétaires, les taux de change, le rapport de la conférence commune du Comesa et le rapport de la première réunion des directeurs exécutifs des Bourses de valeurs dans l'espace du Comesa.

Pana, 5 novembre 2007

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Forum des hommes d’affaires des pays membres de la BID

Un forum des hommes d’affaires des pays membres de la Banque islamique de développement (BID) s’est ouvert ce matin, au Kempinski Palace, en prélude à la 248e assemblée, demain, du conseil des directeurs exécutifs de cette même institution financière.
Initié par la BID, en collaboration avec le Ministère des Finances et la chambre de commerce de Djibouti, ce forum qui a regroupé plusieurs membres du gouvernement, de nombreux opérateurs économiques djiboutiens, du Moyen-Orient et de la péninsule arabique est destiné à promouvoir Djibouti comme place financière et comme porte d'entrée maritime pour les pays de la sous région et du Comesa.
La Banque islamique de développement
Créée en octobre 1975 à Djeddah, la BID est une institution multilatérale dont l'objectif est d'encourager le développement économique et le progrès social de ses membres et des communautés musulmanes, tant individuellement que collectivement, conformément aux principes de la Charia. Elle totalise cinquante-six actionnaires, dont la République de Djibouti, tous membres de l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI).
Agence djiboutienne d'informations, 3 novembre 2007

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SADC, Comesa ou Ecsacom ?

Le Zimbabwe, comme un certain nombre de ses voisins, appartient simultanément à la SADC et au Comesa, qui évolueront toutes les deux à terme, vers une union douanière. Disposant d'un vrai potentiel économique, le choix de l'une des deux unions douanières ne sera pas anodin pour le Zimbabwe, en termes de développement, d'impacts économiques et sociaux.
Si d'un côté la puissance sud-africaine peut faire pencher la balance en faveur de la SADC, elle peut également s'avérer dangereuse pour l'appareil productif, en inondant le marché local de produits plus compétitifs, avancent les "pro-Comesa". Par ailleurs, choisir le Comesa pourrait s'avérer payant à moyen-long terme, compte tenu de la croissance démographique que devrait connaître la région et qui peut laisser envisager de plus grands débouchés pour les produits du Zimbabwe.
Le Zimbabwe devra toutefois clarifier ses relations commerciales présentes et futures, en choisissant entre la SADC et le Comesa. Mais n'y a-t-il pas une solution intermédiaire ?
Toute la question est de savoir s'il est nécessaire ou non, d'avoir deux organisations régionales séparées, avec la possibilité de n'appartenir qu' à une seule des deux. La proximité des pays qui forment l'Afrique centrale, orientale et australe et leur grande communauté d'intérêts laissent à penser que la meilleure solution consisterait en une fusion des différentes organisations régionales pour établir le marché commun de l'Afrique orientale, centrale et australe (East, Central and Southern Africa Common Market - Ecsacom).

Zimbabwe Independant - Zimbabwe, 2 novembre 2007

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lundi 5 novembre 2007

APE : 13e forum de négociation régionale à Djibouti

Le 13e forum de négociations régionales de l'Afrique orientale et australe (AfOA), qui se tient à Djibouti, prépare les prochaines négociations décisives prévues du 6 au 12 novembre à Bruxelles.
Le 13è forum aborde entre autres les résultats des réunions sur l'accès au marché et le développement tenues en septembre à Kigali au Rwanda, en octobre à Antananarivo à Madagascar et à Djibouti. Le principal objectif de ces réunions était de finaliser les propositions de l'AfOA sur les taxes en vue des négociations de Bruxelles.
Le ministre du Commerce et de l'Industrie de Djibouti, Rifki Bamakrama a affirmé que les prochaines négociations de Bruxelles seraient orientées par le principe d'unité au sein de l'AfOA et dans le but d'établir un marché fort dans la région.
De son côté, le secrétaire général du Comesa, Erastus Mwencha a réitéré que l'AfOA était convaincue que conclure un EPA avec l'UE était la meilleure option pour laquelle la région doit déployer ses efforts.

Xinhua, 2 novembre 2007

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ARTICLE LIE

Le Président de la République reçoit le secrétaire général du Comesa