lundi 28 janvier 2008

L'union monétaire de l'EAC passe par des politiques rationnelles

Selon Emmanuel Mutebile, gouverneur de la Banque d’Ouganda, le succès de l’union monétaire de l'East African Community passe par la convergence efficace des politiques macroéconomiques des Etats membres.
S’exprimant au cours d’une rencontre du Comité des Affaires monétaires de l'EAC à Kampala, il a affirmé a ajouté que les Etats membres devaient fixer un délai précis pour la mise sur pied d’une monnaie unique régionale et d'une banque centrale.
Pour rappel, le Comité des Affaires monétaires avait été chargé d’étudier la meilleure façon d’intégrer une union monétaire lors du 6e congrès extraordinaires des Chefs d'Etat de l'année dernière à Kampala.

Agence de presse africaine, 24 janvier 2008

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L’UE va financer des projets hydrauliques de plus de 300 millions USD au Rwanda

L’Union européenne a dégagé une enveloppe de 5,5 milliards de francs rwandais (308 millions de dollars) pour financer des projets hydrauliques au Rwanda.
Selon le chef de la délégation de la Commission européenne au Rwanda, le Dr David MacRae, les deux projets sont financés dans le cadre de la facilité hydraulique entre les ACP et l’UE.
L'un des projets, d’un coût total de 4,3 milliards de franc rwandais (soit 240,8 millions USD), va desservir les zone rurales des districts de Nyamagabe et Nyaruguru. L'UE participera à concurrence de 2,2 milliards de franc rwandais (123,2 millions USD) sur une période de trois ans. Ce projet devrait permettre une nette amélioration dans la disponibilité de l’eau potable et des services d’assainissement.
Pour le second projet d’une valeur de 7,9 milliards de francs rwandais (environ 442,4 millions USD), l’UE apportera 3.3 milliards de francs rwandais (soit 184,8 millions USD).
Ces projet qui concernent les zones rurales très lointaines des districts de Nyaruguru, Huye et Gisagara, vont nécessiter la construction d’un réseau de conduites d’eau de 350 km de long.

Agence de presse africaine, 24 janvier 2008

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vendredi 18 janvier 2008

La filière caprine redynamisée

Un vent de renouveau souffle sur la filière caprine à Madagascar avec l'importation de 2.000 têtes de chèvres en provenance d'Australie.
Cette importation est toute aussi opportune dans la mesure où le marché représente, aujourd'hui, un potentiel intéressant : la demande est très élevée surtout dans les pays du Comesa. Madagascar exporte, actuellement, environ 2.000 tonnes de viande de chèvre dans les pays de la région comme les Comores ou le Bahrein. D'un autre côté, le marché local offre aussi des opportunités. Le marché d'Analakely écoule plus de 100 têtes de chèvres par semaine. Le secteur de l'artisanat aussi en profitera, avec l'importation de chèvres de race angora, réputée pour la qualité de leur fourrure.
D'après les explications techniques, les chèvres seront aptes à la reproduction d'ici un an et demi.

L'Express - Madagascar, 18 janvier 2008

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mardi 15 janvier 2008

L'EAC exprime sa neutralité face aux violences au Kenya

Le secrétaire général de l'East African Community (EAC), a rompu son silence sur la crise kenyane, déclarant que son institution ne soutenait aucune des principales factions impliquées dans la crise post-électorale au Kenya.
Le secrétaire général de l'EAC a indiqué que le simple fait qu’ils aient reçu le nouveau ministre kenyan en charge des Affaires de la communauté, M. Wilfred Machage, « ne signifiait pas que la communauté appuyait Mwai Kibaki déclaré vainqueur à l’issue des récentes élections au Kenya, une victoire controversée ».
Sept ministres des cinq Etats membres de l'EAC (Burundi, Kenya, Rwanda, Ouganda et Tanzanie), ont eu, au cours du week-end, des pourparlers dans la ville d’Arusha (nord de la Tanzanie) sur les violences post-électorales au Kenya.

Agence de presse africaine, 14 janvier 2008

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Le Mozambique suspend la fourniture d’électricité au Zimbabwe

Le barrage hydroélectrique mozambicain de Cabora Bassa (HCB) a interrompu la distribution d’électricité à l’Autorité zimbabwéenne d’électricité (ZESA) pour non-paiement d’une dette de dix millions de dollars américains.
Selon Juliao Pondeca, le conseiller en développement stratégique et commercial auprès du conseil d’administration du barrage, la fourniture d’électricité au Zimbabwe sera rétablie dès que la ZESA aura payé sa dette.
HCB avait informé la ZESA de ses intentions, lorsqu’en mi décembre il avait réduit les approvisionnements au Zimbabwe de 150 à 75 mégawatts. Pour autant, la ZESA n’avait toujours pas réglé sa dette. HCB avait donc attendu le 28 décembre pour procéder à la coupure totale du courant vers le Zimbabwe, avant de le rétablir à la veille du Nouvel An. Malgré les promesses faites par la ZESA, aucune rentrée d’argent n’a été enregistrée. Par conséquent, le 1er janvier 2008, HCB avait à nouveau coupé le courant au Zimbabwe.
Malgré un paiement de 7 millions USD par la ZESA, HCB insiste pour le paiement intégral des 10 millions dus avant tout retour à la normale.
Le Zimbabwe est confronté à une crise économique sans précédent, avec une grave pénurie de devises pour importer des biens essentiels comme l’énergie.

Agence de presse africaine, 11 janvier 2008

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La crise au Kenya a fait perdre en une semaine 12 millions de dollars de recettes à la Tanzanie

La Tanzanie a eu un manque à gagner de 11,8 millions de dollars dû aux perturbations du commerce transfrontalier causées par les troubles post-électoraux au Kenya.
Le responsable des Douanes et des impôts au niveau du fisc tanzanien (TRA), George Lauwo, a révélé que les recettes douanières hebdomadaires à la frontière avaient chuté de six à 2 millions de dollars depuis le début de la crise kenyane.
Même s'il estime que le problème est passager, les revenus nationaux mensuels tirés des impôts et autres droits de douane pourraient tomber de 2 millions à 600.000 dollars par semaine, si la situation venait à perdurer.
Le Kenya est le premier partenaire commercial de la Tanzanie en Afrique et sa deuxième source d’investissements directs étrangers, après le Royaume Uni.

Agence de presse africaine, 11 janvier 2008

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Le Kenya enregistre un déficit de 46 millions USD de recettes touristiques

Le secteur touristique du Kenya, le plus grand secteur porteur du pays, a enregistré un déficit de plus de 46 millions USD, à la suite des turbulences électorales qu’a connu le pays au cours du week-end dernier.
L’annulation, au mois de janvier, de 90% des arrivées serait à l’origine de ce déficit. Il n’y a actuellement pas de vols vers le Kenya, seuls des charters vides viennent dans le pays pour prendre des voyageurs.
Un communiqué diffusé à la presse par l’Association du patronat Kenyan indique qu’une baisse de 60% des recettes touristiques est prévue cette année, en plus des 20.000 kenyans ayant déjà quitté leur emploi dans le secteur. Le ministre kenyan des Finances, Amos Kimunya, avait noté que l’économie pourrait connaître un déficit d’un milliard de dollars à cause du ralentissement des activités économiques provoqué par les violences post-électorales.

Agence de presse africaine, 9 janvier 2008

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lundi 14 janvier 2008

Un émissaire du président Mwanawassa à Djibouti

Membres du Comesa, la République de Djibouti et la Zambie entretiennent des relations privilégiées et l'ambassadeur de la Zambie a remis récemment au chef de l'Etat djiboutien un message écrit du président Mwanawassa qui souhaite que les liens d'amitié et de coopération entre les deux pays se consolident davantage.
Le président zambien, Patrick Levy Mwanawassa, a envoyé un émissaire spécial auprès du président Ismaïl Omar Guelleh qui l'a reçu au palais lundi dernier. Son Excellence Patrick Sininka, ambassadeur de Zambie à Djibouti, émissaire du président Maanawasssa, était porteur d'un message relatif aux voies et moyens de promouvoir et de développer davantage les liens d'amitié et de coopération entre les deux pays.

La Nation - Djibouti, 10 janvier 2008

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Les conséquences de la crise kenyane sur les économies d’Afrique de l’est

Les violences post-électorales au Kenya ont sérieusement affecté les économies de tous les pays d’Afrique de l’est, notamment l’industrie de transformation qui est presque au point mort, en même temps que les exportations et l’agriculture.
L’Ouganda, pays enclavé et dépendant du Kenya pour ses importations de pétrole, subit fortement les conséquences des troubles électoraux, au moment même où le prix de l’or noir ne cesse d’augmenter. En Tanzanie, le prix du ciment aurait connu une hausse après une importation de 45.000 tonnes à partir de la cimenterie du Kenya, pour réguler la montée en flèche récente du prix de vente au détail. Tous les autres produits importés à partir du Kenya devront être arrêtés, en raison de la situation actuelle qui perdure.
Le Kenya, risque également d'être affecté en tant que pays exportateur.

Agence de presse africaine, 6 janvier 2008

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La Libye et l’UA signent un accord pour créer une banque d’investissements

Le gouverneur de la Banque centrale de la Libye, Dr Farhat Ben Gadara, et le Commissaire de l’Union Africaine aux affaires économiques, Dr. Maxwell M. Mkwezalamba, ont signé un accord pour la mise sur pied d’un comité de pilotage dont la mission sera de mettre sur pied une Banque africaine d’investissements d'ici un an.
Le comité de pilotage sera également chargé d’entreprendre l’étude de faisabilité de la banque, une initiative qui entre dans le cadre des résolutions de l’UA. La banque, implantée en Libye, devrait financer des projets de développement à travers le continent.

Agence de presse africaine, 6 janvier 2008

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Accroître la visibilité du Comesa

Senvy Maistry est concepteur et réalisateur d’émissions télévisées en anglais sur les affaires et vient de décrocher un contrat d’expert en relations publiques auprès du Comesa. Son défi : placer le Comesa au centre de l’info internationale.
Sa tâche au Comesa consiste à conseiller le manager des relations publiques, qui est un Rwandais, sur les moyens d’augmenter la visibilité du Comesa dans l’information internationale et par de multiples biais. «Le Comesa ne veut pas seulement renforcer ses relations avec les médias mais aussi développer ses relations multimédias. Cela signifiera créer un nouveau site Web et des forums de discussions sur le Net, réaliser nos propres images que nous donnerons aux stations de télévision, travailler avec People TV, network international qui réalise «Business Africa» et «Initiative Africa». En bref, il faudra être plus agressif dans le bon sens du terme, proactif. Cette instance comprend 20 pays membres et a toute son importance dans la région. Il faut accroître sa visibilité dans les médias internationaux.»

L'Express - Maurice, 8 janvier 2008

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Créer un fonds pour soutenir les entreprises qui se lancent en Afrique

Extraits d'une interview de Kevin Teeroovengadum, financier

L’économie africaine se réveille. Quelles sont les opportunités qui se présentent pour les entreprises mauriciennes sur le continent ?
Les ouvertures existent dans pratiquement tous les secteurs d’activité. Compte tenu de l’expérience de Maurice dans certaines industries, j’estime que les opérateurs mauriciens peuvent trouver des créneaux intéressants dans l’agro-industrie, les services financiers, l’hôtellerie et le tourisme, l’aquaculture et l’ingénierie légère. [...] Le continent a tout ce qu’on n’a pas : de vastes superficies de terre, des ressources naturelles, des matières premières et des marchés en pleine expansion. Maurice est partie prenante de la SADC et du Comesa. Cela nous donne la possibilité d’accéder à des marchés dans des conditions préférentielles, d’importer de ces pays en des termes favorables et d’étendre nos barrières économiques au-delà de nos limites géographiques. [...] Il existe beaucoup d’opportunités dans des pays tels la Zambie, la Tanzanie, le Mozambique, et d’autres Etats en Afrique centrale et en Afrique de l’ouest.
Que faut-il faire pour que Maurice puisse explorer le business sur le continent ?
Il faut une action concertée entre le secteur public et le secteur privé. Je pense, par exemple, à la création d’un fonds auquel participeront la Development Bank of Mauritius, la State Investment Corporation, la SICOM et certains groupes privés. Ce fonds servira à soutenir les entreprises mauriciennes qui veulent se lancer en Afrique.
[...] Les grands groupes mauriciens devront avoir une stratégie africaine. Il faut qu’ils aient des personnels qui sont dédiés à la recherche et à la conclusion des opportunités en Afrique. Cela ne peut se faire en restant à Maurice et attendre que les opportunités arrivent.
[...] D’autre part, il faut donner une nouvelle orientation aux actions de promotion sur le continent. Les initiatives d’Enterprise Mauritius sont certes importantes, mais elles ne suffisent pas. Il faut que les entreprises prennent le temps à comprendre les marchés et la culture des affaires en Afrique. Pour cela, il faut aller sur place et développer de bons réseaux.
Les entreprises mauriciennes craignent beaucoup les risques de faire des affaires sur le continent…
Les risques existent dans tous les pays. Il faut savoir les évaluer et les gérer. [...] La stabilité politique est un facteur essentiel pour développer les affaires. La Zambie, par exemple, est un pays politiquement stable et a été une démocratie depuis qu’elle est indépendante. Elle offre un bon climat pour l’investissement. Il y a, d’autre part, des plans d’assurance pour se protéger contre des risques politiques. Il est aussi possible de faire appel à des institutions de développement internationales pour qu’elles puissent partager les risques.

L'Express - Maurice, 7 janvier 2008

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La RDC va signer un nouveau programme triennal avec le FMI

La République démocratique du Congo devrait conclure en mars prochain avec le Fonds monétaire international (FMI) un nouveau programme triennal si les performances réalisées en 2007 par ce pays se poursuivent.
Le gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC), Jean-Claude Masangu, a indiqué que l’exécution satisfaisante du programme triennal et de la tranche annuelle du document stratégique pour la croissance et la réduction de la pauvreté (DSCRP) devrait offrir à la RDC l’opportunité historique d’accéder au point d’achèvement de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) ainsi qu'à l’initiative d’allègement de la dette multilatérale, d’ici à fin 2008 (environ 10 milliards USD).
Selon lui, les appuis des partenaires au développement devraient contribuer notamment à la réhabilitation et à la construction des infrastructures de base, attirer plus d’investissements privés, créer des emplois et booster une croissance économique à deux chiffres en RDC, à partir de 2010.
En 2008, le taux de croissance en RDC devrait se situer à 7,8 % et le taux d’inflation à 10,0 %, selon les prévisions de la BCC.

Agence de presse africaine, 3 janvier 2008

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L’industrie du tourisme en RSA suit avec inquiétude la crise au Kenya

Le secteur de l’industrie du tourisme en Afrique du Sud a fait part de sa préoccupation face aux effets négatifs que pourraient avoir les violences au Kenya.
Le Kenya, connu pour son tourisme safari, est la deuxième destination touristique en Afrique au sud du Sahara derrière l’Afrique du Sud, deux pays que les touristes associent très souvent dans leurs carnets de vacances.
Cependant, les milieux d’affaires sud-africains s’inquiètent beaucoup de la crise qui secoue le poumon économique de l’Afrique australe. Le Kenya est le plus grand partenaire commercial de l’Afrique du Sud sur le continent, en dehors de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). Selon le site web du gouvernement, l’Afrique du Sud exporte vers le Kenya quelques trois milliards de rands (441 millions USD) par an. Prétoria est également le plus grand investisseur direct au Kenya avec une trentaine de sociétés et de commerces sud-africains installés dans ce pays.

Agence de presse africaine, 3 janvier 2008

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La Zambie résilie des contrats de construction pour des retards de livraison

Le gouvernement zambien a annoncé avoir mis fin à des contrats le liant à plusieurs constructeurs qui n’avaient pas réussi à boucler dans les délais impartis, la construction de routes qui leur avait été confiée.
Parmi les projets routiers suspendus figurent celui des grands axes qui étaient en cours dans la province nord-ouest du pays et dont la construction traîne depuis deux ans, sans justification valable.
Des sources officielles indiquent que de nouveaux contrats seront signés avec des firmes qui seront triées au volet au terme d’un nouvel appel d’offres.

Agence de presse africaine, 2 janvier 2008

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Maurice a signé un Accord commercial intérimaire avec l’UE sur les APE

Maurice et d’autres pays d’Afrique de l’est et d’Afrique australe ont décidé de signer, depuis le mois de décembre dernier, un accord commercial intérimaire (ACI) avec l’UE.
L’accord, entré en vigueur le 1er janvier 2008 et applicable jusqu’au 31 janvier 2008, maintiendra tous les traitements tarifaires préférentiels accordés par Bruxelles jusqu’ici, à l’exception du sucre et du riz, des produits pour lesquels est prévue une période de transition allant jusqu’en 2015.
Jusqu’à la signature complète des APE, l’ACI garantit l’accès en franchise de droits et hors quota des produits mauriciens sur les marchés de l’UE et stipule que Maurice n’aura pas après, à ouvrir ses marchés sans droits de douane, aux produits européens.
Les pays d’Afrique de l’est et d’Afrique australe ont également obtenu une dérogation sur le thon, ce qui leur permettra d’exporter vers l’UE, en 2008, 10.000 tonnes de conserves de thon et 2.000 tonnes de thon pêché. Le quota sera réparti entre les pays exportateurs de produits halieutiques, notamment Maurice, les Seychelles, les Comores, Djibouti et Madagascar.

Agence de presse africaine, 2 janvier 2008

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2008, année de démarrage de l’exécution du programme de développement en RDC

L’année 2008 sera celle du démarrage effectif de l’exécution du programme quinquennal de développement de la République Démocratique du Congo (RDC) initié par le président Joseph Kabila.
Ce programme porte essentiellement sur la réhabilitation et la construction des infrastructures sociales de base - ponts, routes, aéroports, écoles, hôpitaux- l’accès de toute la population congolaise à l’eau potable et à l’électricité, la santé publique de la population, l’éducation et la création d’emplois.
C’est dans ce contexte que le gouvernement vient de doter le pays d’un budget estimé à plus de 3,6 milliards de dollars américains, un record jamais réalisé depuis l’accession de la RDC à l’indépendance en 1960.

Agence de presse africaine, 2 janvier 2008

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