L'intégration régionale bonne pour la croissance
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Le dynamisme vers l'intégration régionale en Afrique de l'Est a reçu l'encouragement des Etats-Unis il y a deux semaines.
En visite à Arusha, le ministre américain des Finances, Henry Paulson, a annoncé qu'il soutenait le mouvement pour que des nations d'Afrique de l'Est travaillent ensemble plutôt que chacune de son côté, ajoutant que l'intégration économique était une force puissante.
La Communauté de l'Afrique de l'est (EAC), comprenant l'Ouganda, le Kenya et la Tanzanie, de même que des nouveaux venus comme le Rwanda et le Burundi, a créé une union douanière en 2005 qui réduit les taxes sur la plupart des exportations au sein de la région, l'objectif ultime étant de réaliser une coopération politique.
Le bloc de l'EAC, avec une population de 125 millions et un produit intérieur brut combiné de 104 milliards de dollars, a la possibilité de profiter plus d'une harmonisation plus profonde, a ajouté Paulson.
La prochaine étape pour l'EAC est de rédiger les règles d'un marché commun qui permettrait la libre circulation de la main-d'œuvre, des biens et des services à travers les frontières nationales. Les négociateurs des cinq Etats partenaires, des représentants de la société civile, des hommes et femmes d'affaires et des experts juridiques ont déjà fait le travail préparatoire, et les discussions formelles devraient commencer à tout moment.
Inter Press Service, 3 décembre 2007
Lire l'article dans son intégralité
En visite à Arusha, le ministre américain des Finances, Henry Paulson, a annoncé qu'il soutenait le mouvement pour que des nations d'Afrique de l'Est travaillent ensemble plutôt que chacune de son côté, ajoutant que l'intégration économique était une force puissante.
La Communauté de l'Afrique de l'est (EAC), comprenant l'Ouganda, le Kenya et la Tanzanie, de même que des nouveaux venus comme le Rwanda et le Burundi, a créé une union douanière en 2005 qui réduit les taxes sur la plupart des exportations au sein de la région, l'objectif ultime étant de réaliser une coopération politique.
Le bloc de l'EAC, avec une population de 125 millions et un produit intérieur brut combiné de 104 milliards de dollars, a la possibilité de profiter plus d'une harmonisation plus profonde, a ajouté Paulson.
La prochaine étape pour l'EAC est de rédiger les règles d'un marché commun qui permettrait la libre circulation de la main-d'œuvre, des biens et des services à travers les frontières nationales. Les négociateurs des cinq Etats partenaires, des représentants de la société civile, des hommes et femmes d'affaires et des experts juridiques ont déjà fait le travail préparatoire, et les discussions formelles devraient commencer à tout moment.
Inter Press Service, 3 décembre 2007
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