Des mesures radicales pour un secteur sucrier mal en point
Le pays doit également fournir des efforts en matière de recherche et développement, avec le Kenya Sugar Board (KSB) et le Kenya Sugar Research Foundation (Kesref).
Et pour changer le mode opératoire dans le secteur, le Comesa veut que les producteurs de sucre adoptent une nouvelle formule de tarification, utilisant le taux de saccharose plutôt que le tonnage, pour payer les planteurs.
La recommandation la plus radicale porte sur une augmentation progressive des quotas d'importation jusqu'à une libéralisation complète du marché en 2012. Cette mesure a pour but, selon les experts, de confronter progressivement le marché à la concurrence, tout en maintenant un degré de protection durant la période de transition.
Business Daily - Kenya, 28 septembre 2007
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