La valeur ajoutée, une nécessité pour le coton africain
thématiques :
Comesa en bref
Pour le Comesa, la valeur ajoutée est une nécessité pour le coton africain, si le continent veut en tirer des bénéfices à l'export.
Un rapport du Comesa met en évidence que même si le continent produit 3 millions de tonnes de coton (pour une production mondiale de 26 tonnes), la grande majorité de ce coton est exporté en Asie où se fait la valeur ajoutée. Le coton et l'industrie textile constituent l'un des secteurs où la création chaîne de valeurs durable et viable est envisageable sur le continent africain.
Le Comesa a donc d'ores et déjà mis en place une plateforme à travers laquelle les producteurs de coton et les industriels du textile échangent sur comment créer des partenariats. L'African Cotton and Textile Industries Federation (ACTIF) souhaiterait pour l'industrie du coton, la mise en place d'un partenariat public-privé.
Xinhua, 11 juin 2008
Lire l'article dans son intégralité
Un rapport du Comesa met en évidence que même si le continent produit 3 millions de tonnes de coton (pour une production mondiale de 26 tonnes), la grande majorité de ce coton est exporté en Asie où se fait la valeur ajoutée. Le coton et l'industrie textile constituent l'un des secteurs où la création chaîne de valeurs durable et viable est envisageable sur le continent africain.
Le Comesa a donc d'ores et déjà mis en place une plateforme à travers laquelle les producteurs de coton et les industriels du textile échangent sur comment créer des partenariats. L'African Cotton and Textile Industries Federation (ACTIF) souhaiterait pour l'industrie du coton, la mise en place d'un partenariat public-privé.
Xinhua, 11 juin 2008
Lire l'article dans son intégralité