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L'East African Community (EAC) envisage de transformer le lac Victoria en zone économique spéciale pour renforcer la croissance de ses pays riverains : le Kenya, la Tanzanie et l'Ouganda.
Plusieurs programmes visent à renforcer le développement de l'agriculture, du tourisme, de la pêche et du transport. Ce projet de 5 milliards de dollars prévoit d'abord la construction d'une route autour du lac, le deuxième plus grand en eau douce du monde, pour faciliter le transport et le tourisme dans la zone.
Xinhua, 8 août 2008
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L'East African Community (EAC) négocie un protocole d'accord en vue d'établir dans la région une union douanière entre ses Etats membres dans les cinq prochaines années.
Pour commencer, le regroupement régional travaille à la l'élaboration d'une politique monétaire devant déboucher sur la mise en circulation d'une monnaie unique d'ici 2012. Pour atteindre ces objectifs, les cinq membres de l'EAC (Kenya, Rwanda, Ouganda, Tanzanie et Burundi) doivent coopérer dans les domaines de la recherche, du développement des ressources humaines et du développement et de la science et de la technologie.
Pour la secrétaire générale adjointe de l'EAC en charge de la fédération politique, Beatrice Kiraso, l'intégration présente de nombreux avantages économiques pour les pays partenaires : administration politique rentable, préservation du patrimoine culturel et usage d'une langue commune, coexistence pacifique et réglement des différends.
Pana, 7 août 2008
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Le Bureau ougandais de la statistique a publié un rapport sur l'inflation au sein de l'East African Community, mettant en cause le mauvais état des routes qui ne permet pas un acheminement correct des marchandises ainsi que la hausse constante des prix du carburant.
Avec le Kenya et le Burundi qui enregistrent des taux d'inflation en hausse de plus de 20%, la Tanzanie de plus de 15%, le Rwanda et l'Ouganda de plus de 10%, les autorités régionales doivent trouver les moyens de les réduire.
Pour l'Ouganda, la maîtrise de l'inflation galopante est une priorité absolue. Le cas contraire, elle risque d'affecter l'élaboration des politiques macro et micro-économiques du pays.
Pana, 4 août 2008
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