La Zambie veut adopter la politique de communication du Comesa

La Zambie veut s’inspirer de la politique de communication du Comesa, afin de modifier la loi régissant l’Autorité indépendante de la radiodiffusion (IBA) du pays.
Au-delà de la seule préoccupation de conformité aux règles du Comesa du fait de l'appartenance en tant que pays membre, les autorités zambiennes estiment que cette politique constitue un bon modèle.

Agence de presse africaine, 23 avril 2008

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Le prochain sommet de l'EAC au Rwanda

Le Rwanda abritera, du 26 au 27 juin 2008, le sommet de l'EAC consacré à l'accélération du processus régional d'intégration.
Les chefs dEtat devraient également étudier les principales recommandations issues du sommet de Kampala, notamment le projet d'amendement du traité instituant la Communauté.
En marge du sommet, se tiendra un forum sur les investissements au sein de l'EAC.
L'originalité du sommet tient à l'intégration depuis l'année dernière de deux pays francophones (Rwanda et Burundi) à ce bloc, jusque-là anglophone.

Agence de presse africaine, 23 avril 2008

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Report du sommet du Comesa à cause de la situation au Zimbabwe

Le 13e sommet du Comesa qui devait se tenir au Zimbabwe, au mois de mai, a finalement été reporté.
Initialement prévu du 5 au 15 mai, le sommet a été reporté à cause de la crise politique suite aux dernières élections présidentielles.
Le Zimbabwe devait remplacer le Kenya à la tête du Comesa pour un mandat d’un an.

Agence de presse africaine, 23 avril 2008

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ARTICLE LIE
Les raisons du report

Victoria Falls prête pour le sommet du Comesa

Le Zimbabwe doit accueillir le prochain sommet du Comesa et les professionnels du tourisme de Victoria Falls attendent beaucoup de cet événement.
Plus de 500 délégués en provenance d'Afrique sont attendus à Victoria Falls du 1er au 17 mai 2008.
Selon Clement Mukwasi, responsable des relations publiques de Shearwater, cet évènement est l'occasion de montrer l'intérêt de la destination, c'est pourquoi les acteurs du tourisme sont particulièrement attentifs sur l'accueil, sur le transport et l'amélioration du standard des hôtels.

Sunday News - Zimbabwe, 20 avril 2008

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Rencontre Sithanen-Zoellick pour renforcer le commerce régional

Rama Sithanen, ministre mauricien des Finances est en mission aux Etats- Unis, pour y rencontrer Robert Zoellick, président de la Banque mondiale (BM) et Murilo Portugal, Deputy Managing Director du Fonds monétaire international (FMI).
C’est en sa capacité de président du comité des ministres des Finances du Comesa que Rama Sithanen rencontre Robert Zoellick. Les discussions seront axées sur un projet d’intégration économique au niveau de la région.
L'objectif est, afin d'enclencher le cycle commerce-croissance-création d’emplois-éradication de la pauvreté, de demander à la Banque mondiale d'aider à financer un Comesa Fund avec deux guichets : l'un destiné au financement d’infrastructures pour le commerce et l'autre, au financement des coûts sociaux des ajustements économiques.
Il est possible que d’autres hauts responsables du Comesa rejoignent le ministre Sithanen aux Etats-Unis.

L'Express - Maurice, 18 avril 2008

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Un outil au service des PME djiboutiennes

Le lancement du Centre de gestion agréé (CGA), instrument au service des entreprises djiboutiennes peu structurées, vient à point nommé dans la perspective de la future entrée en vigueur de l'Union douanière du Comesa.
Le CGA a été créé par la Chambre de Commerce de Djibouti dans le but de répondre aux besoins d'accompagnement des PME et des TPE en vue de leur apporter une assistance en matière de gestion. Elle sera chargée entre autres, d'aider les entreprises à s'adapter à l'éventualité d'une mise en place de la TVA préconisée dans le cadre du projet d'Union douanière du Comesa.
La priorité est donnée dans un premier temps aux entreprises peu structurées et à plus ou moins long terme, au secteur informel afin qu'il puisse progressivement rejoindre le secteur structuré et ainsi sortir de la précarité.

La Nation - Djibouti, 17 avril 2008

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"L’idéal pour Maurice, c’est l’unification de la SADC et du Comesa"

Extraits d'une interview de Pynee Chellapermal, directeur du Cedrefi (Centre de documentation, de recherches et de formation indianocéaniques)

L’appartenance multiple de Maurice pose problème. Comment choisir entre la SADC et le Comesa ? Et pourquoi ?
Il est vrai que la multiple appartenance de Maurice est source de problème et d’incohérence en matière de politique régionale. Une telle démarche nécessite des ressources additionnelles tant financières que humaines. Il est vrai qu’il y aura des choix à faire au fur et à mesure qu’on avance dans le processus d’intégration régionale. L’idéal pour Maurice, c’est l’unification de la SADC et du Comesa en un seul bloc d’intégration régionale. Il y a un début de dialogue et de consultation entre les deux blocs mais il faut aller plus loin. Maurice attend qui plus est une décision de l’Union Africaine à ce sujet.

Le Cedrefi...
... est une ONG engagée dans le développement durable et la coopération régionale entre les îles du sud-ouest de l’océan Indien et créée en 1981 par un groupe de jeunes universitaires. Son objectif est de promouvoir, diffuser et faire avancer par l'action, le concept primordial d'un développement centré sur l'être humain, notamment à Maurice et sa conviction en la coopération régionale, sous toutes ses formes, entre les pays du sud-ouest de l'océan Indien et par extension à la région de l'océan Indien.

L'Express - Maurice, 10 avril 2008

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L'Egypte appelle aux investissement dans les TIC et l'énergie

La Ministre égyptienne de la coopération internationale Fayza Aboul Naga, a annoncé lors du forum Inde-Afrique, que les technologies de l'information et de la communication, le tourisme et les énergies étaient des secteurs prioritaires pour son gouvernement.
Elle a plaidé pour un accueil des investissements des sociétés indiennes, argumentant que l'Egypte représentait d'énormes débouchés avec un marché intérieur intéressant, une porte d'entrée sur les 20 pays du Comesa et un accès facilité vers d'autres régions du monde.
Par ailleurs, des partenariats entre les sociétés des deux pays peuvent être envisagés, notamment en matière d'outsourcing, avec l'Inde anglophone et l'Egypte arabophone et donc, la perspective de marchés plus vastes.
Les échanges entre l'Inde et l'Egypte ont atteint 2,2 milliards USD en 2006, et pourrait atteindre les 10 milliards USD d'ici 2010.

Livemint.com, 10 avril 2008

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ARTICLES LIES

India, Egypt look to improve business ties

Egypt to provide rock phosphate for India

Assises de la Justice du Comesa à Djibouti

Les 8 et 9 avril se sont tenues, à Djibouti, les réunions des experts de la Justice du Comesa.
Il a été question notamment de l'examen du protocole du commerce des services, du code des douanes qui est un projet de règlement visant l'établissement douanier, du projet de règlementation relative aux statistiques de l'investissement direct étranger et du renouvellement du mandat des juges de la cour de justice du Comesa.
D'autres thèmes comme les passations des marchés publics, le programme régional de la concurrence, le journal officiel de l'organisation, la signature et la ratification des instruments juridiques ont également été abordés.

La Nation - Djibouti, 10 avril 2008

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Maurice, premier partenaire commercial de Madagascar

Depuis l’adhésion de Madagascar au Comesa, Maurice est le premier partenaire du pays en matière d’échanges commerciaux.

Selon le directeur des Relations internationales au ministère de l’Economie, du commerce et de l’industrie, Gérard Ravelomanantsoa, 68% des exportations vers le Comesa sont à destination de Maurice a;ors que 70% des importations malgaches viennent de Maurice.
Plus précisément, ces exportations ont été évaluées à Ar 69 milliards en 2007. Comores arrive en deuxième position avec 8%, puis Kenya et Seychelles.
Le montant total des exportations malgaches vers les pays du Comesa s'élève à Ar 102 milliards en 2007 (environ 38,8 millions d'euros) contre Ar 54 milliards en 2006, soit une hausse de 89% par rapport à la valeur nominale. Les importations en provenance du Comesa s'élèvent à Ar 187 milliards en 2007 (environ 71 millions d'euros).
En revanche, avec la SADC, les exportations se chiffrent à à Ar 84 milliards en 2007 (32 millions d'euros) pour des importations d'un montant de Ar 417 milliards en 2007 (158,7 millions d'euros). L'entrée en vigueur de la zone de libre-échange de la SADC (prévue pour août 2008) pourrait favoriser les échanges commerciaux et attirer de nouveaux investisseurs à Madagascar.
L'enjeu pour Madagascar sera de faire son choix entre les unions douanières du Comesa et de la SADC, à moins que les deux organisations régionales ne s'accordent pour appliquer un tarif extérieur commun et égal. Il pourrait être opportun pour Madagascar d’attendre la mise en place effective du tarif extérieur commun et par ricochet, fixer définitivement son choix.

Madagascar Tribune - Madagascar, 10 avril 2008

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Hausse du commerce de Madagascar avec le Comesa et la SADC

Les échanges commerciaux de Madagascar avec le Comesa et la SADC ont augmenté de 10% l'an dernier.
Selon Jimmy Rajaobelina, chef du service statistique des Echanges et services (SSES) à l'Institut national de statistique (Instat), les exportations vers les pays de ces zones sont passées de de 112 millions USD en 2007 contre seulement 63 millions de dollars l'année précédente.
Les principaux articles d'exportation de Madagascar sont des produits agricoles suivis des textiles et services.

Xinhua, 9 avril 2008

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ARTICLE LIE
Les exportations malgaches augmentent dans la région

L'ancien secrétaire général du Comesa décoré

Erastus Mwencha, secrétaire général sortant du Comesa a été élevé au grade de Commandeur de l'ordre national, au ministère des Affaires étrangères à Anosy.

L'Express - Madagascar, 8 avril 2008

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«Nous attendons des autorités une loi anti-dumping»

Extraits d'une interview de Gérard Garrioch, nouveau président du Joint Economic Council

Comment ressentez-vous la concurrence étrangère ?
Il y a deux types de concurrence : la concurrence loyale et la concurrence déloyale. Notre marché est relativement restreint. Jusqu’à récemment, nos entreprises, les local manufacturers, ont toujours fixé leurs efforts sur le marché local. Aujourd’hui, nous nous tournons vers la région, le Comesa ou la SADC pour exporter nos produits et élargir notre marché. En retour, nous nous attendons que des opérateurs étrangers viennent chez nous. Ce que nous attendons des autorités, c’est un level playing field et une loi anti-dumping. Cela éviterait que des entreprises viables aillent à la faillite et que le marché local soit livré pieds et poings liés au diktat des fabricants étrangers. C’est sur ce point que nous devons faire attention. Sinon, nous n’avons rien contre la concurrence étrangère. Au contraire, elle ne peut que stimuler les entreprises locales à améliorer la qualité de leurs produits et à être plus agressives à l’exportation.
Les sociétés locales sont-elles capables de faire face à l’ouverture des marchés ?
Les sociétés locales ne sont pas identiques. Il faut les prendre au cas par cas. Le gouvernement l’a si bien compris qu’il a mis sur pied, avec la Chambre de Commerce et d’Industrie (MCCI) et l’Association of Mauritian Manufacturers (AMM), un comité pour étudier l’industrie locale et son avenir. Il est temps qu’on le fasse car de petits obstacles historiques ont empêché son décollage. Nous avons l’intérêt de ces entreprises à cœur, car elles contribuent pour 10 % à 11% du PIB. Mais le JEC ne s’y limite pas. Il regroupe également les entreprises d’exportation, le sucre, les banques et assurances, le tourisme, etc.

L'Express - Maurice, 2 avril 2008

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La Zambie appelle à la suppression du visa dans l'espace Comesa

La Zambie a appelé à une suppression complète de visa dans l'espace du Comesa pour faciliter la circulation des personnes dans la sous-région.

Xinhua, 4 avril 2008

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